Evosges lundi 25 Mai2023

En ce lundi de Pentecôte 13 randonneurs se retrouvent à Evosges sous un soleil estival contrairement en Juillet 2021 où nous avions essuyé un gros orage ( repli sous le préau de l’école ) . Cette fois nous partons de l’étang Buinand créé en 1992 , propriété de la commune . De nombreux pêcheurs ont investi les lieux . Une chaloupe nous attend mais nous avons seulement nos bâtons pour ramer ! Nous montons en direction de l’église par des petites ruelles,c’est un petit village rural de 150 hab où l’agriculture est encore présente . La période des foins a débuté,les prairies sont remplies de fleurs multicolores ( sauges , geraniums , marguerites, renoncules , narcisses ) et encore des orchidées et même mieux des orchis bourdons .

Nous allons emprunter le sentier de mémoire créé en 2020 . La quiétude du plateau contraste avec la violence des événements qui se sont déroulés durant l’hiver 1944 . Sur cette petite route montante au lieu dit la Laye nous découvrons le premier panneau explicatif : 2 jeunes maquisards ont perdu la vie en se faisant surprendre par les Allemands . Nous arrivons à la ferme Marchat perdue au milieu des bois incendiée en février 1944 , les maquisards ont pu prendre la fuite avant sauf un qui a été fusillé . La maison a été reconstruite et est devenue un lieu de mémoire . Nous avons la surprise de trouver une famille installée pour un pique nique avec une louve qui tolère bien Pagneul .

Nous nous enfonçons dans les bois , les forestiers ont fait des coupes blanches , les engins n’ont pas trop défoncé les chemins . C’est un parcours en montagnes russes , le soleil filtre à travers les frondaisons , l’atmosphère est beaucoup moins lugubre qu’en 2021 . Pas de flash ( piège photo ) pour nous surprendre non plus . Troisième station aux ruines des fermes de Ternant incendiées aussi et dernier panneau à Terriau où le parachutage n’a pu avoir lieu car les balises n’étaient pas assez visibles . Nous retrouvons les champs et la lumière et nous passons devant le ball trap et la croix du Plan . La descente caillouteuse nous ramène au village où des odeurs de merguez nous font penser que l’heure de manger est déjà bien dépassée , il est plus de 13 h !

Vite ,vite à l’étang pour réserver les tables pour le repas , les glacières sont dans les coffres et 2 tables sont disponibles : le luxe suprême ! Nous remettons les machines en route vers 14h15 et pour ne pas changer nos habitudes nous recommençons par une grimpette pour atteindre le plateau et la ligne de crête au dessus des falaises . Nous dominons la vallée de l’Albarine , vue aérienne et plongeante sur Tenay et St Rambert , traversée de buissons et de pâturages et arrêts fréquents sur des promontoires . Finalement nous découvrons Oncieu : le village en rond que l’on voit sur les dépliants touristiques . La descente est plus soutenue pour atteindre le col d’Evosges , Gilbert nous réceptionne sur la route . Ce serait dommage de ne pas monter à la Croix , les 13 marcheurs grimpent en file indienne dans le sentier pierreux et atteignent le sommet : belle récompense car la vue est splendide . C’est sous la chaleur que nous retrouvons le parking heureux d’avoir redécouvert ce coin sous un autre éclairage . Nous repartirons par Oncieu en voiture pour admirer ce village pittoresque .



 

Grand Corent jeudi 25 Mai 2023

Enfin une vraie journée printanière ! C’est ce qui a décidé 14 randonneurs à se retrouver sur le parking du lavoir de Grand Corent ( 180 hab alt 500m ) , petit village bien entretenu situé sur un promontoire dominant les gorges de l’Ain à l’Est et la vallée du Suran à l’Ouest . Nous prenons la direction de Racouze , les maisons sont adossées à la colline , il y a même une maison bleue ! Les chemins sont larges , l’or jaune des cytises irradient les feuillages verdoyants, qui pourrait imaginer qu’en Avril 1944 ces lieux enchanteurs furent le théâtre des crimes de la barbarie nazie ?

Nous suivons le chemin du maquis ,des panneaux explicatifs sont implantés sur ces lieux de mémoire( stèle de Marcel Donde maire de Grand Corent , stèle de Salvit Ernest ) le hameau de Racouze a été réduit en cendres le 16 avril 1944 . Avant de quitter la ligne de crêtes nous admirons le paysage en contrebas : rivière d’Ain , roches du Jarbonnet et le pont de CIZE depuis un belvédère improvisé : le toit en terrasse d’une maison . Nous descendons sur des sentiers bien balisés , les buis sont à nouveau attaqués par la pyrale .

Nous débouchons dans des prairies fleuries , l’herbe est fournie ,haute et nous chatouille les mollets : gare aux tiques ! Pour éviter la route nous suivons Gilbert sur des pistes confidentielles et nous arrivons devant la stèle du camp de Cize . ( rappelez vous nous étions passés ici en 2021 et nous étions montés au camp du maquis ( tombe d’Abel , vieux fourneaux ) lors d’une rando à Corveissiat . Nous prenons la direction de Chalourd , les maquisards descendaient dans ce hameau pour se ravitailler ,la stèle du colonel Romans Petit rappelle ce passé mouvementé .

La pause méridienne se passe sur un talus herbeux à l’entrée de la cité EDF de Chalourd . Nous descendons au barrage de Cize qui a été construit entre 1928 et 1931, il avait été prévu pour l’alimentation des usines du Creusot (Schneider) et de Decize (houillères ) les sociétés d’électricité avaient chacune leurs usines Le niveau d’eau est bas , les barrières sont ouvertes , mais pas question d’aller plus loin , les ouvriers nous incitent à faire demi tour , ils ont eu peur des Zadistes de mimirando !

Nous retrouvons la cité EDF et ses maisons bien alignées . Nous sommes contents de nous enfiler dans la trace ombragée qui nous conduit sur le site de Fontaine Noire . Petit ruisseau qui sort de la roche et se jette dans la rivière d’Ain , les spéléologues pratiquent ici la plongée souterraine et il y a même une échelle pour accéder plus facilement au gouffre mais cela ne tente personne . Nous quittons cet havre de paix ou d’angoisse pour longer la rivière et ses nombreuses cabanes de pêcheurs . Le viaduc de Cize nous domine subitement et nous sommes à ses pieds . C’est un pont ferroviaire et routier . Sa construction a commencé en 1872 , mise en service en 1876 , trafic routier en 1905 , le 12 juillet 1944 les maquisards dynamitent la pile numéro un en croyant limiter les dégats mais par effet domino les 11 arches vont s’écrouler, il sera reconstruit de 1945 à 1946 à l’aide de prisonniers allemands et sera remis en service en 1950 . A partir des années 2000 les trains ne passeront plus et après des travaux remis en service en 2010 pour les trains TGV .

Et si on parlait du rocher en forme de bénitier qui surplombe la rivière ? je vais vous raconter la légende de Gargantua : ce géant parcourait la région quand il fut pris d’une soif intense ( comme nous aujourd’hui ) il posa un pied sur le bénitier rive droite de l’Ain et un autre rive gauche , il se pencha pour s’abreuver et ne remarqua même pas qu’il venait d’engloutir un radeau et ses radeliers qui descendaient le cours d’eau , il se releva en toussotant pensant qu’il venait d’avaler un moucheron . Maintenant il va falloir monter !!!

Le premier palier est le village de Cize sur une petite route goudronnée, la caravane s’étire et nous avons le loisir d’apprécier le paysage . Le regroupement se fait sur le replat et  traversons le village d’un bon pas mais nous savons que nous allons entrer dans la difficulté du jour . Nous abordons le pied de la côte prudemment , il ne faut pas se mettre dans le rouge , chacun son rythme et tout le monde se retrouve sur les marches de l’église de Grand Corent avec encore de l’énergie à revendre . La glaciaire et les patisseries des Marvie ont été appréciées .

PS : c’est décidé, à tour de rôle à la fin de chaque rando, un randonneur offrira généreusement un rafraichissement ou une boisson chaude selon la météo , on ne concourt pas pour le meilleur goûter ! l’essentiel est de se refaire la cerise après l’effort et de revenir tout flambant sur la place du village de Montcet



 

Lescheroux jeudi 11 Mai 2023

La météo capricieuse nous a incité à bousculer notre programme . Nous irons bien à Lescheroux mais en demie journée le matin avec un petit encas dans nos sacs pour éviter le coup de barre de 11h . Nous nous retrouvons à 13 devant l’église sous un ciel bien chargé avec un timide rayon de soleil et une fraîcheur bien présente . Nous arpentons la grande rue déserte et nous passons devant les ateliers des sabotiers bressans ( spécialité du village ) . Nous nous enfonçons dans la Bresse profonde . Les averses fréquentes des derniers jours agrémentées d’éclaircies ont dopé la végétation , de fines gouttelettes perlent encore des feuilles et des hautes herbes . Heureusement le parcours emprunte plus de routes que de sentiers . Après une petite montée nous arrivons à Thiètres , les nombreuses moissonneuses de l’entreprise Michon sont rangées sous les hangars . Déjà l’étang de Pontremble se profile à l’horizon ; il fait environ 50ha et il est le plus grand étang de la Bresse de l’Ain . C’est une propriété privée ouverte au public , on peut en faire le tour , le responsable nous donne l’autorisation .

C’est un lieu de pêche réputé des carpistes ( carpodrome , enduro carpe , pêche à la grenouille ) . De nombreuses cabanes de pêcheurs sont disséminées le long des berges ( des cabanes de chantier au confort spartiate au prix de 20 euros pour une nuit ) .Nous admirons les reflets du ciel sur l’eau , ce vaste miroir accueille les oiseaux nicheurs et migrateurs . Nous retrouvons le paysage de bocage , chemins en sous bois , maisons à colombages avec des puits . Nous découvrons les hameaux de Petit Villard et Grand Villard et le gîte de la Jument Grise( relais apprécié des cavaliers ) .

D’après les autochtones,les Chartreux avaient ici un domaine relié à leur propriété de Montmerle(chapelle à Lescheroux)par un tunnel! Grace à l’amabilité de la propriétaire nous nous installons sur le muret en bord de route pour notre collation . Martine se souvient d’être venue danser au bal de la vogue du Villard il y a X années et depuis l’esprit festif perdure avec la fête de quartier .

Nous sommes à proximité de St Nizier le Bouchoux , Geneviève reconnait la route ! Soudain une averse nous oblige à sortir les impers mais ce sera de courte durée . Nous empruntons un chemin de terre bien humide pour arriver aux Bruyères ; çà sent l’écurie au sens propre comme au sens figuré ; le clocher est en vue ,le rythme s’accélère . Petit crochet pour photographier le cadran solaire de l’ancien presbytère qui daterait du 18è et le gros sabot de bois qui aurait bien besoin d’un coup de vernis . Bilan de cette demie journée : 14 km et le sentiment d’avoir encore une fois réussi à braver la météo .



 

Cuisery dimanche 7 Mai 2023

Nous ne serons que 6 pour cette rand’eau à Cuizery en Brrrrresse bourrrrrrguignonne ( on roule les R ) . C’est vrai la météo n’était pas très engageante . Pour le moment il ne pleut pas et il ne fait pas froid donc tout va bien . Nous sommes surpris de découvrir un bourg dynamique que l’on traverse sans s’arrêter pour aller à Tournus ou Châlon sur Saône ( 32 km ) . C’est une pépite patrimoniale , ce sont les sires de Bagé puissants seigneurs Savoyards qui sont à l’origine du développement de Cuisery, nous empruntons le parcours historique créé en 2017 agrémenté de 20 panneaux retraçant les lieux et les personnalités cuiserotains .

Nous déambulons dans les ruelles à l’affut de particularités architecturales et comme le hasard fait bien les choses le premier dimanche de chaque mois c’est le jour du marché du livre ( en fait c’était prévu… ) . Cette animation date de 1999 ; 17 professionnels sont installés dans les anciens commerces du centre ville et proposent des livres d’occasions ou de collections et c’est ainsi que Cuisery est devenu le Village du Livre . Nous fouinons dans ces boutiques où l’odeur âcre des vieux bouquins nous prend à la gorge . Les 3 petits cochons , Boule et Bill , le Petit Prince : la famille Maitre est en pleine régression ou en lien direct avec certains souvenirs ( la fameuse Madeleine de Proust ) . Ce n’est pas l’affluence des grands jours mais nous prenons plaisir à admirer l’exposition des vitraux de pierre de Claude Rochat à la chapelle St Pierre : photos retravaillées de la lumière du soleil traversant les vitraux et se projetant sur les colonnes des édifices religieux . Nous passons devant Le Palace salle de spectacles et le Centre Eden dédié à la diversité des milieux naturels bourguignons .Grâce à un guide audio visuel nous savons tout de l’église Notre Dame et de ses 12 chapelles , petit coup d’oeil à la Tour, vestige du château fort qui servait de prison sous l’Ancien Régime .

Il est l’heure de se restaurer ; le préau de l’ancien collège de Maîté ( très émue de s’immerger à nouveau sur les lieux de son enfance ) est l’endroit idéal , il y a même des bancs et une table ! un seul petit inconvénient : le croassement des corbeaux , c’est une vraie corbeautière . Nous ne goûterons pas à la spécialité de la Bresse louhannaise : les corniottes ( petit gâteau en forme de tricorne sur fond de pâte brisée recouverte de pâte à choux souvent additionnée de crème pâtissière . Après cette matinée culturelle nous passons à la partie sportive .

Nous descendons le chemin des remparts , l’ail des ours est en fleur mais les feuilles sont tachetées de déjections des corbeaux , personne ne se fera baptisé ouf ! Nous arrivons dans une zone natura 2000 et dans des prairies bocagères , le camping famillial au bord de la Seille se situe dans un joli écrin de verdure . Les chemins sont larges et bien balisés et non herbeux . Un petit crachin nous oblige à sortir parapluies et capes et nous poursuivons notre marche sur la voie du tacot ( ce petit train venait de Tournus et emmenait les gens sur les marchés de Cuisery , Louhans ) . Nous longeons les bois et les champs ensemencés à perte de vue , au beau milieu de ces cultures apparaissent d’immenses hangars . Nous découvrons l’aérodrome de Tournus Cuisery siège de l’aéro club du Val de Saône . Un sympathique pilote nous donne des explications sur les ULM non pendulaires .

Ces appareils vus de près ressemblent à des Playmobils et n’inspirent pas trop confiance quand on sait qu’ils peuvent voler à plus de 200km/ h mais un tonnage de 500kg est à respecter . Après ce petit intermède qui nous a permis de se mettre à l’abri nous regagnons le village à travers les nouveaux quartiers construits autour du château de Montrevoz ( immense parc boisé ) De petits sentiers serpentent au milieu des haies fleuries où s’accrochent des glycines à l’odeur sucrée . Les rues sont désertes , les 6 randonneurs et les nombreux chats sont les seuls à apporter un peu de vie à cette cité endormie sous la pluie . Bilan de la journée : 11 km dans un village qui mérite le détour et dans une ambiance très conviviale .

 



 

Berzé jeudi 4 Mai 2023

Quel plaisir de se retrouver à 14 sur le parking de Berzé la Ville juste en face du restaurant . Nous sommes dans le Mâconnais , ce village de 700hab a su conserver son patrimoine ( maisons vigneronnes avec escaliers en pierres et treillis en bois  et son four à gypse que nous n’aurons pas eu le temps de visiter Petit rappel : Berzé la Ville a possédé des carrières de gypse exploitées industriellement depuis le 18è jusqu’en 1899 transformant le gypse en plâtre par chauffage .

Nous prenons la direction de la chapelle des Moines intégrée à un prieuré clunysien appelé le château des Moines ( propriété privée ) et nous descendons à la Croix Blanche ( c’est plus calme qu’à Bourg ! ) . Déjà de nombreux cyclistes empruntent la voie verte qui passe à proximité . Maintenant il faut remonter à travers les vignes en pleine croissance mais gare aux gelées de Mai ! Des petits hameaux et des maisons bourgeoises sont disséminées dans les coteaux et déjà la forteresse de Berzé le Chatel se profile à l’horizon . Nous admirons cette campagne verdoyante : le Val Lamartinien . Le viaduc de Sologny ou de la Roche est bien intégré au paysage  Nous nous rapprochons du château mais ce coquin se mérite ! L’assaut se fait côté Sud et çà tire les mollets , les tours nous surplombent mais personne ne nous a repéré . Nous contournons l’édifice pour prendre la route pentue jusqu’à la chapelle et la mairie mais cette fois nous n’avons pas perdu de sac !

L’allée ensablée nous emmène à la gigantesque porte d’entrée qui est ouverte ce qui nous permet de jeter un coup d’oeil . Cette forteresse médiévale des 10è , 13è , 15è ,19è domine la vallée , possède 14 tours ,des terrasses avec plusieurs jardins . Elle a été rachetée en 1817 par la famille Thy de Milly . Des visites et des animations ont lieu durant la période estivale . La petite fraîcheur du matin a laissé place à une certaine chaleur qui nous fait quitter nos vestes  nous grimpons encore , le château est encore plus joli vu d’en haut . Nous nous enfonçons dans les bois de chênes et de châtaigniers ; séance de rattrapage pour ceux qui n’avaient pas encore cueilli de muguets . La pause pique nique est la bienvenue sur le site naturel protégé des carrières de Rampon  .

Cette carrière a été exploitée entre 1973 jusqu’en 2000 et a révélé des roches volcaniques et granitiques formées il y a 300 millions d’années , roches sédimentaires témoin de la présence de la mer et des premiers passages des ancêtres des dinosaures . Le doux rosé offert par Gilles en l’honneur d’Alba a agrémenté nos menus et c’est un retour à la dure réalité quand il faut gravir les 21 marches du sentier découverte de cette zone protégée . Parfois un son rauque et gras retentit dans ces rochers , serait ce les dinosaures ? mais non , ce sont les « Ponpon  » qui toussent et qui ont une bonne bronchite .

Nous sortons de la forêt pour descendre à Vaux Verzé , vallon champêtre bien exposé au soleil . Quelques maisons et un manoir avec un immense tinailler qui est par  définition un local où s’èffectue la vinification et par extension le stockage des vins en cours d’élevage ,mot utilisé surtout dans le Mâconnais et Beaujolais . Actuellement cette bâtisse sert d’hébergement aux haras de Cluny . A l’Echalault rencontre avec un habitant sympathique qui nous donne toutes ces explications et qui nous aurait bien offert le café .

Nous sommes contents de retrouver les ombrages du mont Chevreuil, le groupe se scinde en deux ; les bolides et les contemplatifs , chacun son rythme et ainsi tout le monde se retrouve en haut et à l’ombre car le soleil donne . Le village de Berze est en vue après une descente herbeuse mais deux options se présentent aux marcheurs : Belvédère Croix de Coche aller et retour 600m où attendre à l’ombre ? En puisant dans nos réserves tous les randonneurs arrivent au promontoire . Joli point de vue sur cette région ,on voit même nos voitures .Nous regagnons le parking vers 16h30 sous une chaleur estivale . Il ne faut pas aller bien loin pour découvrir des sites pittoresques .

PS:pour en savoir plus

http://www.bourgogne-franche-comte-nature.fr/fichiers/20140817-rampon-verze_1487165159.pdf