Romanèche 9 juillet 2020

Nous décollons à 8h pour arriver sur le coup des 9h à Romanèche , commune de Hautecourt . Nous nous garons au ras de l’église et du monument aux morts créé par Georges Salendre : un enfant du pays , sculpteur connu à Lyon .Le village est connu aussi pour ses carrières ( entreprise Fontenat ) 

Il va faire chaud ; ne perdons pas de temps . Nous grimpons d’un bon pas à Grand Corent au milieu des buissons . Nous visitons le village perché sur la colline . Nous trouvons enfin la maison de notre ami Thomas le vigneron ; le pétillant ce sera pour une autre fois !

Descente  sur Cize ; au loin le viaduc mais pas de TGV en vue . La chaleur arrive ; heureusement la montée aux falaises se fait à l’ombre ; mais çà monte quand même ! On atteint les vires , en contrebas le village de Bolozon avec le Mt Balvay , les méandres de la rivière d’Ain ; la pelouse sèche du Coulou . A la recherche de grands frissons nous nous approchons du vide tout en restant raisonnable ! descente dans des blocs de pierres ( chacun sa technique !) et pause casse croûte en forêt pour la fraîcheur . 

Nous passons devant le parc aventure ; enfin ce qu’il en reste ! d’autant plus qu’une affichette vient d’être subtilisée ! et nous atteignons le belvédère  de Villette où nous retrouvons des visages connus . Nous rejoignons Romanèche par des sentiers ombragés . Des menhirs dans un pré ;  où sont les Gaulois ? Peut être simplement des limites ? Google au secours !

Nous retrouvons nos voitures en plein cagnard ; le cochon sanglier et ses poules sont toujours dans leur parc . Retour en Bresse  ; il fait 33° !



 

Chalamont 2 juillet 2020

Ce matin la t°est idéale ; nous débutons la balade du parking de la gendarmerie de Chalamont . Les chemins sont larges et bien balisés . C’est une succession de champs de blé ; tournesols ; étangs ; de jolis passages en forêts bordés de fougères : vraiment aucunes difficultés !

Nous débouchons à Montbuisson commune de Crans . Petit village qui fait preuve de créativité dans les décorations ! On aurait pu manger sur la place mais il est encore trop tôt . 

Nous passons au carrefour de l’Abbatiale ( il y aurait eu une abbaye cistercienne  fondée au 12e siècle dans le secteur ) . La montée dans le bois est sympa ; à la Froidière la pelouse bien tondue irait bien pour la pause de midi  mais on nous fait comprendre que c’est Non ………. Finalement nous choisirons une bordure de chemin ombragée .

Chalamont  se profile à l’horizon ; Roger reconnait les platanes ( ils ont grandi ) il a travaillé dans cette ferme pour monter un hangar dans les années 70 et ….. le bâtiment est toujours là ! le soleil pique ; c’est le retour au village . Nous aurons parcouru 15km sans nous en apercevoir ; vraiment trop forts !



 

Pont de Veyle 28 Juin 2020

Nous ne sommes que 6 au départ de Pont de Veyle sous un soleil voilé avec une chaleur supportable pour le moment ; des averses sont annoncées dans l’après midi ?

Déambulation dans la grande rue  de Pont de Veyle « la Venise bressane  » car traversée par la Veyle et de nombreux petits cours d’eau formant une île . Des 14 tours médiévales ne subsiste que la Tour de l’Horloge protégeant la maison du guetteur . Actuellement de multiples commerces sont vacants .Au 16è et 17è siècles la ville a connu la prospérité lorsque les Calvinistes ont fuit Mâcon pour s’y installer . Au 18è nouvel élan avec la fréquentation d’intellectuels (Voltaire ) au château .

Direction la Saône en passant par le vieux bourg de Grièges ( chapelle St Gengoult du 15è ) . Des champs de blé à foison ; certains remplis de coquelicots ; des maîs déjà en fleurs ; par de larges chemins blancs nous atteignons la base de loisirs de Cormoranche où grâce à l’amabilité du gérant nous pouvons rentrer pour jeter un coup d’oeil : cela donne des idées !

Nous traversons des peupleraies ; des zones humides .Parfois un vrombissement nous fait sursauter :  les lignes TGV sont toutes proches . La chaleur devient pesante ; nous arrivons en bord de Saône pour pique niquer .

Le retour se fait à travers la Prairie  ; les forêts sont les bienvenues ! Enfin le pont de Jonc  fleuri : zone aménagée pour les pêcheurs et les promeneurs en 2016 . Nous sortons de notre torpeur quand nous arrivons à un bief rempli d’eau ; nous sommes prêts à nous déchausser mais Gilbert qui a reconnu le parcours a un plan B : nous entrons dans le maîs avec précaution et miracle nous arrivons dans le parc du château !

12ha avec des arbres magnifiques ;  de multiples passerelles ( 8 ) ; des petits sentiers ombragés ; les façades  du château viennent d’être repeintes  ; les pelouses sont immenses et bien entretenues . Les Compagnons du Tour de France ont rénové l’édifice et l’ont quitté en 2015 . Nous admirons le pigeonnier écurie ; les serres du 19è siècle ; la grille des chiens à l ‘entrée et la pluie arrive quand nous reprenons les voitures !  une fois de plus nous avons de la chance. 

 



 

Neuville sur Ain 25 juin 2020

Pour éviter le pic de chaleur de l’après midi , le départ a été avancé à 8h .

9 randonneurs se retrouvent à Neuville /Ain  . Parcours agréable le long de la rivière d’Ain ; le site d’escalade ; la résurgence du Suran (à sec ) et le site archéologique de la Colombière (cf site en bas de l’article). Après avoir traversé le pont on arrive à Poncin . Petit arrêt au lavoir mis en valeur par de jolies fresques . On longe le Veyron aux eaux claires et on se retrouve devant l’usine Tiflex . Depuis plus d’un siècle développe des solutions de marquage , codage pour l’agro alimentaire ; cosmétiques ; pharmacie ; fabrication d’imprimantes , d ‘encres ; elle emploie 170 ouvriers . On se retrouve à Menestruel ; ferme équestre , élevage du Paradis Sauvage (bergers australien) et ancien prieuré qui dépendait de l’abbaye de St Claude et qui a servi d’internat à la ville de Villeurbanne . La montée ombragée est la bienvenue  . Une odeur de bouillie bordelaise : on arrive dans les vignes . Au loin on aperçoit Merignat et Breignes .Petit détour pour rallonger le parcours et descente sur Chenavel ( hameau de Jujurieux ) . Pause pique nique sous l’abri communal ( on veut le même à Montcet ! ) Qu’est ce qu’on est bien ! 

La chaleur devient pesante ; on lève le camp . On s’arrête au château  en restauration ( il y a encore fort à faire : toitures ! ) Bâtiment datant du 16ème ayant appartenu aux sires de Thoire et Villars ; en 1844 acheté par Claude Joseph Bonnet  ( soieries ) servait de maison de repos pour les ouvrières pensionnaires de Jujurieux . En 1943 les chantiers de jeunesse ; en 1975 association des fouilles préhistoriques .

Traversée de la nationale et du pont de Neuville . Cette fois on ne verra pas Phenicia Dupras championne du monde en canoe  comme lors de notre reconnaissance . Il est 13h30 ; on aura pas souffert de la chaleur mais il est grand temps de rentrer  33°  ! A nos âges il faut se ménager !

C’est avec plaisir que nous avons retrouvé 2 Michèle ( je me sentais un peu seule )

http://patrimoines.ain.fr/n/abri-de-la-colombiere-a-neuville-sur-ain/n:319

 



 

Treffort 18 juin 2020

5 randonneurs ont répondu à l’appel du 18 juin à Treffort .Départ de la place centrale ( promis on se garera plus bas la prochaine fois ! ) Montée à l’église le long des vieilles maisons du village médiéval . Arrêt au belvédère ; discussion avec les jardiniers en contrebas ; le parc du château est toujours en travaux . Treffort  est un joli site qui mériterait d’être mieux connu .

Sentier balcon jusqu’à Cuisiat .Les arbustes envahissent peu à peu les prés; un troupeau de vaches nous obligent à changer de trajectoire et joie suprême je trouve un ophrys bourdon  (très rare est protégé ) 

On redécouvre le village de Cuisiat en passant par les rues adjacentes ;les garçons vont glaner des renseignements au musée du Revermont où la permanencière attend les visiteurs qui se font rares . Un cerisier au dessus d’une fontaine; personne en vue ! la tentation est trop forte !!!!!

C’est une longue montée rectiligne dans la forêt avec 2 ou 3 virages qui nous attend . 2 barges rouillées au bord du chemin prises dans les broussailles éveillent notre curiosité ; nous avons pu avoir les renseignements auprès de l’ancien maire du village . Ces barges du débarquement de Normandie de 1944 ont été achetées à Bourg et installées dans les années 1950 pour servir d’abreuvoirs . La colline n’était pas recouverte d’arbres mais de pâturages .

Il y a longtemps que l’angélus a sonné ; la faim se fait sentir . Nous trouvons une trouée herbeuse ensoleillée en haut du col des Justices pour la pause repas .

Il faut se remotiver pour reprendre les sacs et descendre sur Treffort .Nous sommes accueillis tout en bas par un troupeau de vaches avec clochettes  : on se croirait dans les Alpes ! Passage au lavoir de la Plate bien entretenu  et retour sur la place . Au retour petite reco à Meillonnas dans un parc ; affaire à suivre!!!!!!



Coligny 11 juin 2020

Direction la place de l’église de Coligny ; météo humide mais déjà ensoleillée .8 randonneurs traversent les ruelles du bourg quand soudain 2 chèvres essaient de se joindre au groupe !

Nous montons le long d’un sentier bien fauché en direction de St Remy mais cette fois nous resterons en contre bas de la chapelle . Nous empruntons une descente glissante jusqu’au pied de Notre Dame des Roches et nous grimpons à travers un défilé humide (fougères et scolopendres à foison )

Arrivée au Poisoux : village incendié en 1944 et reconstruit après la guerre . Une grosse ferme anime un peu le hameau . On est en zone Comté et la fruitière se situe à Nantey . La marche s’effectue sur le plateau ;  au loin des petits villages mais lesquels ? ( C’est la commune de Val d’Epy qui regroupe Tarcia ,Epy ,Lanéria , Poisoux , Nantey , Senaud, Florentia , Ecuria ) Les noms de village en A dans le Jura ne prennent pas de T . 

Nous débouchons au camping à la ferme  de L’âne éria ( jeu de mot avec le nom du village ) ; ancienne ferme pédagogique . Lieu rêvé pour ceux qui ont souffert du confinement et qui ne redoute pas l’isolement !

La faim commence à se faire sentir . Nous pique niquons à Laneria . Personne aux alentours  : on a l’impression d’être loin de toutes civilisations ! 

Nous repartons par des pâturages pour atteindre Senaud . La mairie ressemble de loin à une chapelle ; des résidences secondaires et une ferme mal entretenue  voici ce qui constitue le hameau . On découvre par endroits des engins agricoles abandonnés  dans des bosquets . Heureusement la découverte de lys martagon nous fait oublier ces vicissitudes !

Soudain nous nous retrouvons en terre connue : le plateau de Vergongeat (les jonquilles ! ) et nous amorçons la descente au village du même nom : nous dominons la plaine de Bresse et nous continuons à perdre de l’altitude  à travers un défilé boisé et glissant . Les premières maisons ; les cerisiers ; le collège avec les élèves masqués  ( covid oblige )  ; il est 15h  : 15 km ou 20 selon les montres ! les cerises de Vandeins sortent de la glacière : la place de l’église va s’en souvenir ! (noyaux )

 



 

col du Berthiand 7 juin 2020

A l’arrivée au col du  Berthiand (780m) , le moral des 6 randonneurs en prend un coup : horizon bouché, brouillard et humidité  . Positivons; il ne pleut pas !

Lestés de nos sacs à dos nous descendons dans la forêt en direction de la vallée par des chemins bien praticables . Des fumerolles se détachent au loin ; le ciel se déchire laissant entrevoir l’espoir d’une météo plus propice ?

Nous visitons le village de Peyriat endormi ; pas âme qui vive : la covid a fait des ravages ! Depuis l’église ( 14eme siècle ) nous dominons la plaine de Nurieux ; le vieux cimetière attire notre attention avec des tombes datant des années 1860 et des emblèmes francs maçonniques .

Montée tranquille le long des prairies fleuries sous un soleil timide . Nous arrivons sur le site des puits romains de Vieillat( cf légende photo). Passage en lisière d’un pré non fauché qui détrempe nos souliers et pantalons . Nous débouchons au marais de Lèches  : site aménagé par la région depuis les années 2005  et c’est la pause pique nique sous le soleil . Des familles ont déjà investi les lieux .

Déambulation sur le sentier sur pilotis au milieu des lèches ( phragmites ) et direction Etables (commune de Ceignes ) ; nous grimpons à la chapelle ; joli point de vue sur les éoliennes de Corlier et d’Apremont ; les monts d’Ain ; en contre bas l ‘autoroute et le village de Ceignes ;nous revenons sur nos pas pour monter sur les hauteurs du  Berthiand . Au relais nous découvrons l’autre  versant ( le haut de la rivière d’AIN  ; la tour de Buenc ! Bourg en bresse ) . Gilbert tente un coup de pocker et nous fait cheminer sur la ligne de crête  ; la trace est engageante et jolie  à travers forêts  mais le doute s’installe jusqu’à la rencontre d’un autochtone qui nous dit que ce sentier de chasseur arrive bien au col : ouf !

Nous rejoignons les voitures sous un grand soleil  et cette fois nous admirons le paysage bien dégagé .



Manque 500m,plus de batterie…

 

Reprise à Bohas 4 juin 2020

C’est par un temps incertain et frais que 7 randonneurs ( pas plus de 10 pour respecter les mesures sanitaires ) se retrouvent sur le parking de l’église de Bohas . En face on découvre les ruines du château dynamité par les Allemands en 1944 .

Il va falloir se réhabituer au port du sac à dos ! La 1ère partie de la rando s’effectue sur de larges sentiers forestiers en direction de Moinans , bois du Vieudrin . Nous ressentons l’humidité et la frâicheur ; c’est appréciable après les chaleurs de ces derniers jours .

Nous traversons le gué du Suran toujours à sec depuis notre passage en automne 2019 . Le Suran n’est pas ressorti cet hiver ? Puis montée vers Arturieux mais nous obliquons à G à travers les pâturages pour atteindre Charinaz le Haut . Petite halte pour pique niquer vers la citerne . Soudain une famille lièvre pointe le bout de ses oreilles dans le pré : Roger où as tu mis tes jumelles ?  Un troupeau de génisses s’approche , l’une d’elles est blessée à la jambe ( sang ) mais il n’y a personne dans ce hameau pour le signaler .

Nous continuons sous un ciel menaçant ; hésitation à Chiloup : nous prenons par le chemin du bas mais cela ne suffira pas à éviter l’orage . Vite , vite les capes et nous trouvons refuge sous un hangar agricole .

La pluie s’atténue; direction le hameau  de Chatillonnet ; rapide bonjour à des amis . Les garçons sont interpellés à Bohas par une habitante en détresse(!) pour une alarme sur sa voiture . Nos spécialistes se précipitent ; plus de distanciation ! c’est une urgence .

Retour à l ‘église à 14h . La camionnette est toujours là et les jumelles aussi .Les cerises de Vandeins sont toujours aussi appréciées . Nous aurons parcouru 14 km : pas mal pour une reprise .



 

Coïncidence

Coïncidence

   Un éleveur de poulet se rend au café local ….  

   Il s’assied à côté d’une femme et commande un verre de Champagne.
La femme dit :

– Comme c’est bizarre! Je viens aussi de commander un verre de Champagne !
– « Quelle coïncidence ! », dit l’éleveur qui ajoute :
– « C’est un jour spécial pour moi ….. Je le célèbre ».
– « C’est un jour spécial pour moi aussi, je le célèbre aussi ! », dit la femme.
– « Quelle coïncidence! », dit l’éleveur!

Pendant qu’ils trinquent l’homme demande :
– « Que célébrez-vous donc? »
– « Mon mari et moi essayons d’avoir un enfant depuis des années, et aujourd’hui mon gynécologue m’a annoncé que j’étais enceinte! ».
  – « Quelle coïncidence ! » dit l’homme :
–  » Je suis éleveur de volailles et pendant des années toutes mes poules ont été infertiles, mais aujourd’hui, elles se sont toutes mises à pondre des œufs fécondés ».
– « C’est génial ! dit la femme. Comment avez-vous fait pour que vos poules deviennent fertiles ?
– « J’ai utilisé un autre coq« , répond-il.
La femme sourit et dit :
-“Quelle coïncidence ! ».

Les confinés J+20

Voici le peu de choses que l’on voit à Montcet dans un rayon de 1km…ou même un peu plus au fond des bois,près de l’Irance ou à la découverte de nouveaux sentiers

Si,j’oublie que lors des sorties de dressage avec Pagneul, le nombre impressionnant de personnes qui marchent sur la commune

Alors,pour le moment,gardons nos distances de sécurité!


Une femme héroïque…

Une femme héroïque…

 On ne fait que parler du corona virus mais personne ne songe à raconter l’histoire de cette femme vaillante qui a fait un acte d’héroïsme lors d’une croisière pendant le dit corona !

Belle leçon de courage que serait le monde, sans de telles femmes ??

Journal intime d’une femme en croisière

 > Jour 1
  Je me prépare pour cette croisière splendide. J’empaquette mes vêtements. Je suis toute excitée ! !  

>Jour 2
 Toute la journée en mer. Splendide ! J’ai vu défiler dauphins et baleines. Quelles belles vacances ! 

 Aujourd’hui, j’ai rencontré le Capitaine, un bel homme, style Alain Delon 40 ans 

>Jour 3
 Piscine. J’ai fait un peu de surf et tiré quelques balles de golf. Le Capitaine m’ a invitée à sa table pour dîner. 

 C’était un honneur et j’ai passé un bon moment. 

 C’est un homme très attirant et attentionné, il  a des yeux bleus magnifiques.

 > Jour 4

 Le Capitaine m’a invitée à déjeuner dans sa cabine. Repas somptueux avec caviar et champagne.

Je lui ai dit que je ne voulais pas être infidèle à mon époux.

 > Jour 5 

 Reste de la journée. Le Capitaine m’a vue et m’a invitée à prendre un verre. Réellement, 

 c’est un homme charmant. Il m’a demandé si je voulais passer à sa cabine cette nuit, Je lui ai dit que non. 

 Il m’a dit que si je ne changeais pas d’avis, il coulerait le bateau.

 > Jour 6   

La nuit dernière, j’ai sauvé 2600 personnes…  Quatre fois ! ! !