L’histoire de St Etienne du Bois

L’histoire de St Etienne du Bois

Quelques notes sur la commune de SAINT ÉTIENNE DU BOIS:

Les premières églises ont d’abord été dédiées à des martyrs. Bon nombre de communes actuelles portent le nom d’un saint martyr. Saint Étienne, considéré comme le premier martyr a donné son nom à SAINT ETIENNE DU BOIS – SANCTUS STEPHANUS DEL BOSCHOUS EN 1250.

Les révolutionnaires se sont attachés à supprimer dans les noms de lieux ce qui pouvait rappeler l’ancien régime féodal ou monarchique, mais aussi des éléments religieux. C’est ainsi que l’on retrouve un élément topographique dans Saint Etienne du bois, qui devient Mont du Bois.

Saint Etienne du Bois 7 Novembre 2019

Après une semaine de météo pourrie , il est grand temps de se dégourdir les jambes ; 12 randonneurs se retrouvent sur le parking du plan d’eau de St Etienne du Bois .C’est sous un ciel gris que nous débutons la balade autour de l’étang du Châtelet ; site bien aménagé par la société de pêche du Sevron . ( le Sevron prend sa source au col de France à Meillonnas )

Nous montons au lotissement du Châtelet (daims ) et découvrons la maison forte de la famille de Domptsure . Nous pénétrons dans les bois , nous croisons des cueilleurs de champignons ( JPierre qui a l’oeil bien aiguisé trouve 2 cépes de Bordeaux ) . Après cette ambiance humide et automnale nous retrouvons le bocage bressan : petits domaines agricoles avec de la volaille , chèvres; moutons, chevaux ; vieilles fermes en pisé  . Nous traversons les lieux_dits de Fraidègue , Marmont ( le manoir de Marmont inscrit à l’inventaire des monuments historiques depuis 1992 date du 18 et 19e ) 

Nous arrivons à Beny au pied de l’église ; passage à la ferme de Chaffoux où le propriétaire nous laisse passer exceptionnellement sur le sentier communal qui traverse sa propriété .

Chef, chef, où est passée la moitié de la troupe ? Nous nous retrouvons vers la voie ferrée et direction moulin de Chaffoux . Nous nous enfonçons dans une zone forestière sombre et humide ;au loin on entend des aboiements mais pas de chasseurs ni de sangliers . A 17h la nuit commence à tomber : magnifique coucher de soleil avec un ciel orangé et des reflets mordorés sur le plan d’eau . Nous avons parcouru 13 km sous une température agréable .



 

Pont d’Ain et son histoire

Pont d’Ain et son histoire

Voici quelques généralités suite à notre marche de jeudi sur PONT D’AIN.

PONT D’AIN: en 1326 PONT D’ENZ – en 1472 PONTDAINS.

En 1281 Béatrice de Coligny apporte la château en dot. Les sires de La Tour du Pin le possèdent jusqu’à 1285. Le Duc de Bourgogne le revend en 1289C de Savoie Aimé V. En 1586 Charles Emmanuel inféoda la seigneurie à Joachim de Rye.

Philibert duc de Savoie décède le 4 Septembre 1504 à 24 ans dans les bras de son épouse Marguerite d’Autriche, dans le château de Pont D’AIN, lors d’un retour de chasse. Il est inhumé en l’église de Brou.

Le 31 Aout et le 1 Septembre 1944 les allemands incendient de nombreuses maisons de la ville.

THOL: de Turra (hauteur).

La seigneurie est inféodée en 1330 par le Comte de Savoie à Barthélemy de La Balme, chevalier et père de Guillaume de La Balme auquel succédera Catherine de Sales son épouse. En 2° noces avec Humbert de Lurieux, celui ci vend THOL en 1374 à Pierre de Brénod, damoiseau, puis le retire pour le transmettre à sa fille Marguerite, femme de Denious de Vaugrineuse. Claude Salins, seigneur de Vincelles le cède , 13 Avril 1577 à Claude seigneur de Chateauvieux.

En Juillet 2019 Arthur et Isabelle Sicard achètent le château.

OUSSIAT: en gaulois -enclos- verger et également présence de houx. HUCIES en 1250. Présence d’une abbaye démantelée en 1850 par des marchands pour en vendre les pierres.

Pont d’Ain 24 Octobre 2019

C’est à Pont d’Ain et sous un soleil automnal que 12 randonneurs  se sont donnés RV . La balade débute le long des quais où les radeliers faisaient escale autrefois avant la construction des barrages . Nous remontons la rive gauche de l’Ain au débit important (pluies du week end ) . Nous longeons les jardins étagés du vieux Pont d’Ain et nous franchissons la passerelle du barrage Convert qui fournissait la force motrice au moulin ; le canal d’amenée ne sert plus aujourd’hui qu’à produire de l’électricité .

Puis passage devant les anciennes filatures d’Oussiat qui étaient alimentées par un autre canal . Ces imposants bâtiments abritaient l’usine et servaient d’hébergements pour les ouvrières . Actuellement ce sont des logements sociaux . Nous quittons la rivière pour entrer dans une zone aride : les Brotteaux et  arriver au hameau de Thol ( commune de Neuville /Ain) ; petite grimpette dans les bois et soudain les ruines du château se devinent à travers le feuillage (J Claude et Elyane ont participé à la restauration de cet édifice ) .Attention propriété privée ! 

Nous nous faufilons à travers la brèche du grillage ( nous ne sommes pas les premiers  à le faire ! ) pour admirer les vestiges .2 tours carrées , des fossés secs qui datent du 13e siècle ( en 2019 un nouveau propriètaire  en a fait l ‘acquisition ) . Ne nous attardons pas : risque de chutes de pierres ! Nous retrouvons le monde agricole sur le plateau et nous affrontons la difficulté du jour : Mont Olivet 314 m !

Descente sur les hts d’Oussiat ( château de Vermont aux tuiles vernissées ) et nous découvrons les hts de Pont d’Ain avec la maison de retraite bien ombragée et le site de la Catherinette avec sa chapelle et son parc .Petite halte et retour au bourg ; on entrevoit le château de Pont d’Ain ( résidence des ducs de Savoie (Philibert le beau et Marguerite d’Autriche )Après bien des péripéties il fut racheté par l’évéché de Belley (maison de retraite des prétres )et aujourd’hui ce sont des logements hauts de gamme . A 18h nous retrouvons le parking , contents d’avoir pu profiter de cette belle journée automnale .



 

Un immigré en Corse

Un immigré en Corse

Cela se passe sur le port de Bastia.

 Un autochtone, qui flâne pour admirer les bateaux, est accosté par un individu, de toute évidence, migrant.

Ce dernier lui dit :

Moi vouloir papiers. Comment faire pour avoir papiers ?

Le corse, très serein, le prend par les épaules et le retourne vers la mer.  Et lui dit avec le sourire

Tu vas dans l’eau, tu nages 1 km dans cette direction et c’est garanti, « t’auras pas pied »  !!!

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Dommartin 17 Octobre 2019

 

« Il pleuvait  fort sur la grand route « (air connu ) nous cheminions sous nos capes et parapluies . Eh oui dame météo ne s’était pas trompée ! Néanmoins 13 randonneurs ne voulaient pas abdiquer :  ce n’est pas une petite pluie ……….. Donc nous voilà parti pour une douzaine de km à travers le bocage bressan : fermes en pisé ,mares, chemins herbeux ,champs de maîs, paturages où des rosés des prés pointent leurs chapeaux . Nous avions la chance de bénéficier d’un guide local : Bernard . Ainsi nous avons découvert la ferme de la Chesnaie (foie gras de canard) et l’exploitation du créateur  » c’est qui le patron  » (lait payé au juste prix aux producteurs ) Passage au boulodrome et retour au village . Un vrai bonheur de remettre des vêtements et des souliers secs !

Il suffit de pas grand chose pour apprécier les petits plaisirs de la vie .

 



 

Jésus

Jésus….

Un italien, un Arabe et un Français mangent dans un restaurant. Le type qui mange en face d’eux ressemble vraiment beaucoup à Jésus.   A la fin du repas, l’italien veut en avoir le cœur net, il se lève et va voir le type.
-Vous savez que vous ressemblez beaucoup à Jésus ?   
Je suis Jésus.
-Ah quelle chance! Je suis un fervent catholique et justement, j’ai un terrible mal de tête… 
Jésus tend la main, touche son front et guérit son mal de tête.
L’italien revient à sa table et raconte ce qui s’est passé. 
Le français se lève à son tour et va voir Jésus : 
Je crois en vous et j’ai horriblement mal au dos depuis des mois. 
Jésus tend la main, touche son bras et guérit son rhumatisme. 
Le français revient à sa table et raconte ce qui s’est passé.   L’arabe  ne bouge toujours pas.  
  Au bout d’un moment, Jésus se pose des questions. Il se lève à son tour et s’approche.
Et vous, dit-il à l’arabe, vous n’avez mal nulle part ?   
Surtout, ni mi touche pas ! Ji suis en arrêt maladie…….! 

Arthurieux

La minute historique d’Arthurieux

Quelques notes sur Arturieux. Ce village est situé sur la commune de NEUVILLE SUR AIN. Il peut être interprété comme le nom d’Arthur suivi du suffixe – acum origine gallo-romaine.

Jean de La Balme seigneur de Fromente avait épousé Marguerite de Coligny, qui lui apporte en dot divers fiefs sur NEUVILLE. En 1324, Jean de Montluel lui donne le fief d’Arturieux que tenait Jean PICARD de La Balme d’Encombret qui en avait hérité des TIRET. Jean De la Balme mourut vers 1346.

Un écrit du seigneur de Fromente restreint en 1280 les conditions de glandage pour les Tiret d’Arturieux, limitant le nombre de pourceaux à 15 dans le bois de Gournay.

Les pierres d’un gué subsiste sur la limite qui sépare Meyriat de Neuville, entre Charinat et Arturieux.

Vers 1770, David Casimir, baron de Kichleivein, lieutenant colonel de cavalerie, reçoit en dot , par Marie Joseph Rosalie du NOYER, le domaine d’Arturieux qu’il vendra avec son moulin de Moinans et un hectare de bois au Vieudrin.

A la fin du moyen âge, les maisons commencèrent à troquer leurs vieilles toitures de chaume ou de lauze contre des couvertures de tuiles. Il y eu 5 carronnières dans la vallée du Suran , dont une à Arturieux. Elle mesurait 42 mètres de long sur 18 de large. Elle appartenait au XVIIIè siècle à la famille BOISSON DU NOYER Henri. Le carronnier était un certain Benoit SIBERT. La production en 1650 – 1675 était de 20 000 tuiles en trois cuites.

Au terme d’un accord de 1540 l’entretien du pont de Fromente fut réparti entre les habitants de NEUVILLE et de Fromente pour une moitié, ceux de Charinat et d’Arturieux pour un quart. Mais en 1684 une inondation détruisit le pont et chacune des parties refusa d’apporter sa quote-part.

La chapelle d’Arturieux s’élevait à l’emplacement de l’édifice actuel du XIXè. Elle était placée sous le vocable de Sainte Anne et aux XVIIè et XVIIIè siècle on y célébrait un culte à l’occasion des rogations et de la fête patronale.

Arthurieux 10 Octobre 2019

Mais Arthurieux, c’est où ?

Ce 10 octobre 11 randonneurs se retrouvent à la chapelle d’Arthurieux après avoir traversé Ceyzeriat ,Bohas , Meyriat et pris la direction de Neuville sur Ain 

Cette balade nous fera connaitre les hameaux de Neuville/Ain

Arthurieux , Planches ,Rappes , Résignel , Fromente

Les cheminées fument ; l’automne commence à se faire sentir . Des noix jonchent le sentier: la cueillette peut débuter mais il ne faut pas trop alourdir les sacs !  Descente au gué du Suran ; le gué est là,mais où est la rivière ? pas la moindre trace d’eau mais des cailloux recouverts de mousse . En fait le Suran est connu pour ses pertes et ses résurgences et l’été à cet endroit il n’y a jamais d’eau (nappes phréatiques doivent être très basses ) Il ressort au Bourbou en contrebas de Planches.

Passage en forêt ; l’humidité est présente . Nous ressortons sur les hauteurs de Planches ( jardin en permaculture,  sculptures en bois , moutons noirs ) et nous arrivons à Rappes (four banal ) Nous cheminons sur des sentiers champêtres pour parvenir à l’usine STYB perdue dans la nature ( 30 employés tout de même ! ) Puis c’est le hameau de Résignel  ( jardin aux courges multicolores et éruption de champignons blancs dans la pelouse d’une maison) .Descente au moulin  : miracle le Suran est réapparu ! nous passons devant la tour de Fromente (privé) 

Nous nous arrêtons devant un hangar : nous avons faim ! des poteaux PTT nous serviront de sièges  . Nous voilà revigorés pour grimper à Fromente . Sur la colline quelques  vignes subsistent encore ; les buis reprennent vie ; les forestiers ont fait des coupes blanches sans endommager les chemins . Nous entendons au loin le bruit des voitures sur l’autoroute  et nous retrouvons le goudron au col, sur la route de Poncin . Cueillette de châtaignes dans la descente et retour à la chapelle Ste Anne et la boucle est bouclée ( pas pour tous  ; il fallait revenir glaner les noix laissées ce matin faute de place dans les sacs ! )



 

Chénas 6 octobre 2019

 

C’est par une météo incertaine que 13 randonneurs se retrouvent sur la place de Chenas (69 ) dans le Beaujolais en face de l’église St Clair . Direction le Moulin à vent ; les vendanges sont terminées, quelques grappes subsistent et la dégustation commence  » il est sucré  » . Nous nous retrouvons sur un parcours rubalisé : bizarre ! Nous ne tardons pas à comprendre quand des centaines de trailers aux maillots multicolores nous doublent . Nous nous rangeons sur les côtés et nous les encourageons  : c’est le trail des crus .

Halte au moulin à vent pour la photo . ( date du 15ème, servait à moudre le grain jusqu’en 1819 et appartient à la famille Sauzet depuis 150 ans ) Nous dominons le site de ce cru réputé . Au son des tambours nous longeons le chateau Portier (tours aux tuiles vernissées ) .Puis longue montée sinueuse dans les vignes aux couleurs automnales ( Poncié ,la Gatille ) avec vue sur la plaine (Mâcon , la Saône ) . Le pic Rémont se mérite après une grimpette plus raide sur 200m ; en fait ce n’est qu’un petit éperon rocheux  (on est pas dans les Alpes !)

Le ciel s’obscurcit ; descente rapide au col de Russie où nous mangeons à l’abri du vent. Nous retrouvons les derniers coureurs à pied bien éprouvés (il ne leur reste plus  que 8 km à parcourir sur les 39 ! ) La pluie annoncée arrive quand nous atteignons la Maison des Chasseurs ; dommage l horizon est bouché mais nous montons tout de même sur la passerelle aménagée sur les ruines . Nous nous enfonçons dans le sentier forestier aux multiples lacets et quand nous retrouvons les vignes il ne pleut plus . Cueillette de raisins et passage devant la cave du Château de Chenas au pressoir  à cabestan .Retour aux voitures à 15h et cette fois le mauvais temps arrive . On aura eu de la chance !



 

Chavannes 3 Octobre 2019

Nous quittons la Bresse embrumée en direction de la Petite Montagne , plus précisémment pour Chavuissiat le Grand  ( hameau de Chavannes sur Suran  ) Nous avons le plaisir de retrouver nos amis  » péruviens » . Nous sommes 13 + diana  pour gravir la côte   sous un ciel dégagé . Passage dans des forêts recouvertes de mousses qui font travailler notre imagination !

On tombe la veste quand on arrive au hameau de Cuvergnat( commune de Corveissiat  )jolie petite place bien fleurie avec fontaine et descente dans la reculée après avoir admiré des aubracs et leurs petits veaux . Il faut gravir une pente escarpée pour arriver sur les Trenoz de Cuvergnat (pelouses sèches bien broutées par les vaches , heureusement il n’y en a pas en vue ! ) 

Un petit détour surprise  pour visiter la grotte de BARACAN : histoire vraie de Jules et Berthe Thevenet qui ont habité ce lieu dans les années 1940 (cf panneau ) Une autre époque !

Descente sur La Chanaz ; c’est le bout du monde  ; on squatte une fois de plus une cabane de chasseurs pour manger au soleil . A 14 h nous arrivons à Germagnat ( 160 hab rattaché à la nelle commune de Nivigne et Suran dont fait partie Chavannes ) Petit village sympa avec son église au clocher déporté , ses jolies maisons restaurées , son moulin alimenté par le bief de la Chanaz mais qui semble un peu à l’abandon . Une petite route goudronnée où subsistent encore les traces du rallye du Suran nous conduit au pont de Lassera (site réputé des pêcheurs ) et à 15h nous retrouvons nos voitures .Nous rentrerons de bonne heure  ; c’est ce qui aurait du se produire mais la randonnée  s’est poursuivie jusqu’au PEROU ……… mais ça c’est une autre histoire !



 

Blanot 26 septembre 2019

BLANOT

En 2016 nous avions découvert ce village dans le brouillard . En 2019 malgré une météo incertaine 9 randonneurs décident de conjurer ce mauvais sort .

Quel périple pour  arriver dans ce lieu retiré des Mts du Maconnais ! (Gilbert tu devras réviser l’itinèraire ! )

Le village est un site clunisien du 13e avec de vieilles maisons de pierres; des portiques , l’église St Martin est entourée de bâtiments appelés le prieuré ; on baigne dans une ambiance médiévale .

Le matin nous arpentons la face Sud de Blanot sur des petits sentiers qui s’élèvent peu à peu dans les vignes . Nous picorons et grumetons : le raisin est sucré mais il n’en reste plus guère .Nous traversons des hameaux aux jolies maisons de pierres ( des résidences secondaires ) et nous entrons dans le domaine de la forêt avec vue sur le Clunisois .

Retour au lavoir où nous reprenons des forces (pique nique)  sous une T° clémente ; le ciel se dégage ; c’est le moment de gravir le Mt St Romain ! Gilbert suit scrupuleusement la trace de 2016 sur sa montre mais en 3 ans les chemins évoluent et ne sont plus entretenus . Crapahutage dans les ronces pour finalement retrouver un chemin plus sympa un peu plus haut (. On a piqué une bonne transpirée ) et arrivée au sommet aprés avoir fait la causette avec des pipelettes d’une classe verte .

Le Mt St Romain 580m; site gallo romain ; les moines de Cluny fondèrent un ermitage détruit fin du 18e siècle . Nous montons sur le toit de l’auberge , table d’orientation, vue panoramique à 360° ( cette fois pas de brouillard ! ) 

Longue descente en forêt mais vue assez dégagée . Nous trouvons des croisons (ptes pommes sauvages en patois ht jura ) . Nous arrivons sur le ht de Blanot (poterie; four banal; fontaine ) et 3 sarcophages mérovingiens découverts en 1992 mais trop étroits pour nous ! Nos rires égaient le village qui semble bien désert ; y a t’il encore des Blanotins ?

PS : Nous avons eu le plaisir d’accueillir 2 randonneurs du club des Pousse Cailloux de Montagnat ; j’espère que nos ptes imperfections ne les ont pas trop perturbés .



Ceci est la trace que l’on utilisée en 2016,il y a une portion qui n’est plus entretenue depuis,il faut suivre le flèchage bleu,Tour du Mt St Romain 2h30….

 

Chaleins Générations Mouvements 19 Septembre 2019

11 randonneurs toujours en » mouvement »ont décidé de participer à cette concentration . Accueil à la salle des fêtes de Chaleins ; munis de badges et gilets jaunes nous sommes prêts pour la manif , nous suivons la file . Pas de rond point en vue ! mais des petites routes ; chemins blancs avec le Beaujolais comme toile de fond . Les champs de maîs déjà bien mûrs nous protègent de la bise ; 

Au ravito des ailes brisées ( stèle érigée en souvenir de 3 pers décédées lors d’un crash d’avion en juillet 1951 ) nous optons pour la rallonge de 3km ce qui portera la rando à 13km .Nous voulons faire honneur au club !

Chemin faisant nous lions conversation avec les clubs de Marboz et St Denis .

A l’arrivée discours du président de génération mouvement et apéro ; l’ambiance de la salle des fêtes monte d’un cran : il est temps d’éponger les excès (certaines pers ont vu Jean Pierre en double !) nous mangerons dehors  ,le grand air nous fera du bien .

Après le pique nique  » après midi patrimoine » : visite du pigeonnier d ‘Alain Nuguet  un passionné, un vrai !!!!. Terre cuite, terre crue, pisé, caron ,charpente ,colombine , plus de secrets !( enfin ceux qui ont pu soutenir leur attention jusqu’au bout et il ne fallait pas faire semblant d’écouter ! ) Après la digestion c’était un peu difficile nous nous en excusons . Beau travail accompli par cet homme enthousiaste ! Merci à Anne pour les photos . 



 

Du houblon à la bière 15 septembre 2019

Le club de l’Irance et Mimirando remercient les houblonniers du moulin pour leur accueil , leur disponibilité et leur gentillesse . Nous leur souhaitons une pleine réussite dans leur projet .

Tout le monde ne lit pas Le Progrès

Voici tous les articles que Bernard Berod a consacré à notre première rando qui a accuellie environ 120 marcheurs et une vingtaine de visiteurs!


Dans la houblonnière bio, plantée par trois amis, fin avril, au lieu-dit “le Grillon”, à la lisière entre Montcet et Montracol, la récolte a commencé.

Le champ de quatre hectares ressemble à une vigne géante, 292 poteaux en bois ont été plantés, avec à leur sommet, à 6,20 m, des câbles d’où descendent à la verticale des fils de coco autour desquels les pousses de 10 200 plants de houblon, de neuf variétés.

Nicolas Sabatier : « Un engagement vis-à-vis des brasseurs de la région »

Un « défi, un engagement vis-à-vis de brasseurs artisanaux de la région », confie Nicolas Sabatier, 34 ans, gérant d’un fonds de commerce à Lyon, l’un des trois associés qui ont acheté l’exploitation agricole à Jean-Christophe François.

Ce dernier les a renseignés sur ce vallon, humidifié par le Bief des Guillets et la rivière Irance, dont la terre, conservée en prairie, n’a pas été labourée depuis plusieurs années, une condition qui a permis d’obtenir le label bio. Le couvert végétal, avec les légumineuses, tels le trèfle ou la luzerne, apporte l’azote, un élément nutritif indispensable aux pousses.

À terme, 500 kilos à l’hectare

«Aucun d’entre nous n’a cultivé le houblon à cette échelle, ni ne possède de diplômes agricoles, chacun a une expérience professionnelle différente», déclare Nicolas. En ce moment, les lianes de coco portant les pousses vertes sont coupées, puis placées dans la machine à récolter qui trie les cônes (formés après les fleurs) contenant la précieuse lupuline, une substance utilisée en brasserie pour donner à la bière son amertume et ses arômes.

«À terme, 500 kg par hectare devraient être produits, triés et séchés, avant la vente aux brasseurs. Notre ambition consiste à aider à constituer une filière de houblon bio en Auvergne Rhône-Alpes», conclut Nicolas.

Pour suivre l’actualité de la houblonnière,connecter vous sur https://www.facebook.com/houblondumoulin




 

La Clayette 12 septembre 2019

Nous sommes 15 au départ de Montcet pour prendre la direction de la Clayette (prononcer la Clette ) dans le Brionnais ( 71 ) ; le pays d’Anne Marie .

Après un périple tortueux à travers des routes escarpées nous nous garons à Mussy sur Dun . Les Bressans sont un peu désorientés ! Anne ,topo en main nous montre le viaduc de Mussy qui relie Lyon à Paray le Monial ( H :60m L:561m , 18 arches ) ouvrage achevé en1895 .

Nous découvrons des paysages valonnés ; des bocages délimités par des haies taillées au cordeau . La sècheresse est bien présente ; les vaches charolaises paturent dans des prés brûlés par la canicule . La montée  s’éffectue progressivement sur des sentiers sablonneux et caillouteux ;les fermes en pierres sont dispersées ;tout est calme et reposant . Nous traversons les forêts de résineux ( Douglas ) ; les parties déboisées sont envahies par les raisins d’ Amerique (toxique ) ; c’est impressionnant !

La faim commence a se faire sentir ; enfin nous arrivons au sommet de la montagne de DUN  (nom celtique : lieu élevé et fortifié ) altitude 708m .Nous sommes récompensés par un magnifique paysage  ( 2 tables d’orientation nous permettent de mieux nous situer ) Nous bénéficions d une visite guidée de la Chapelle de Dun grace à une guide bénévole contactée par Anne . Lieu chargé d’histoire et lieu de pélérinage . Cet édifice aurait été construit au 12e siècle au centre d’une forteresse ,restauré en 1897 sur ordre du Comte de Rambuteau  . Nous sommes sur la commune de ST RACHO ( prononcer ST RACO )

Le casse croûte est le bienvenu ! petite sieste pour certains  et descente sur Mussy . Nous passons devant un monument privé dédié à des soldats morts à Madagascar en 1895 (cf https://www.lejsl.com/edition-charolais-brionnais/2014/10/24/ces-soldats-brionnais-tombes-a-madagascar)

Il est temps de rejoindre la Clayette en voiture : c’est du sport , les routes sont étroites !

Arrêt devant le château érigé en 1380 au bord de l’étang et entouré de douves, les carpes surnagent dans une eau verdâtre jusqu’à quand ? Le château appartient à la famille Noblet depuis 1722 et y réside toujours 

La Clayette cité du cheval , berceau des grues Potain (grues à tour ) délocalisé en 2013 à Décines ; berceau des chocolats Dufoux (délocalisé à Charoles en 2015 ) heureusement il reste un magasin en ville n ‘est ce pas ? Verre de l’amitié devant le château et retour au pays .

Merci Anne et Michel de nous avoir fait découvrir ce beau pays .

PS:livre écrit par le papa d’Anne Marie sur la chapelle de DUN,voici le lien:http://brionnais.fr/pm/site/histoire_Dun.htm

 



 

Le cul du curé

« Le Cul du curé »une blague gauloise !!!

Le Cul du curé. Une histoire qui n’est pas celle que vous croyez ……..

Un jour, un curé s’est engagé dans une course, sur son âne nommé « CUL », et il a gagné.

Le curé était tellement content de son âne qu’il s’est engagé de nouveau dans une autre course et il a gagné encore une fois.

Le journal local a écrit en première page

 Le CUL DU CURÉ VA DE L’AVANT.
L’évêque était tellement contrarié par ce genre de publicité qu’il a ordonné au curé de ne pas inscrire l’âne dans une autre course.
 LE CUL DU CURÉ DÉPLAIT À L’ÉVÊQUE a titré le journal;
C’en était trop pour l’évêque qui ordonna au curé de se débarrasser de l’âne.Le curé a décidé de le donner à une religieuse dans un couvent proche.
Le journal local, entendant la nouvelle, a posté le titre suivant le lendemain:
 UNE NONNE A LE MEILLEUR CUL DE LA VILLE.
L’évêque s’est évanoui Il a informé la religieuse qu’elle devrait se débarrasser de l’âne,alors elle l’a vendu à une ferme pour 10 €.
Le lendemain, le journal disait:
 UNE NONNE VEND SON CUL POUR 10 €
C’en était trop pour l’évêque qui a ordonné à la religieuse de racheter l’âne et le conduire dans les plaines où il pourrait courir à l’état sauvage.
Le lendemain, les titres se lisaient comme suit:
LA NONNE ANNONCE QUE SON CUL EST LIBRE ET À L’ÉTAT SAUVAGE.
L’évêque a été enterré le lendemain.

 La morale de l’histoire:
– Être préoccupé par l’opinion publique peut vous apporter beaucoup de chagrin et de misère. . .
– Et même, raccourcir votre vie.
Alors soyez vous-même et profitez de la vie.
Arrêtez de vous inquiéter pour le cul des autres,occupez-vous juste de vos propres fesses !!!Vous vivrez plus longtemps!