L’argile de Vescours

Vescours – Carrière d’argile de Vescours, Rippe Bernard, les Griottières, le Cussion, l’étang Nicolet

 
Le diagnostic réalisé comprend 144 sondages et concerne le projet d’extension d’une carrière dans la commune de Vescours. Le terrain relativement plat est constitué de sols limono-argileux peu épais recouvrant des niveaux d’argile sur plusieurs mètres d’épaisseur. Ce gisement s’étend sur toute l’emprise du projet d’extension de la carrière et au-delà. Cette carrière est ici exploitée pour l’argile qui est ensuite transformée dans une usine de Pont-de-Vaux. Des briques sont ainsi produites et utilisées en maçonnerie. Les déchets de fabrication sont réutilisés en terrassement dans la carrière d’argile.

2La densité de vestiges est assez lâche et le mobilier archéologique rare. Les faits archéologiques apparaissent entre 0,30 et 0,60 m de profondeur. C’est essentiellement un ensemble de fossés non datés, mais quelques structures archéologiques sont présentes, principalement à l’est des parcelles. La Protohistoire est représentée par une fosse de l’âge du Bronze final et une petite fosse-silo du début de l’âge du Fer qui sont isolées. Quelques fosses peu profondes en bord de plateau constituent un ensemble antique s’étendant sur une cinquantaine de mètres mais difficile à appréhender.

3Enfin, l’élément structurant daté le plus ancien est un fossé contenant un dépôt céramique du xve-xvie s qui pourrait marquer un ancien chemin bordant à l’est les étangs asséchés dits étang Carry et étang Nicolet. La trame formée par les fossés est assez importante mais non datée. Elle permet cependant de retrouver des parcellaires anciens, datés au moins du xve s., masqués par un drainage contemporain.

4Ces éléments témoignent de l’aménagement du site à des fins agricoles mais aussi de l’évolution des parcellaires et du paysage.

Fig. 1 – Extrait de la carte de Cassini

Fig. 1 – Extrait de la carte de Cassini

 

Le château de Montsymond

 

Le château du «Suisse fou»

Une trajectoire hors-normes pour un caractère qui l’est autant… Le chemin du Zurichois Paul Gross l’a mené à Vescours, en France, au Château de Montsymond.

Là, avec sa femme Elfi, il continue, à 74 ans, de travailler toute la journée tout en se sentant «un homme libre».

La grille s’ouvre sur un parc de huit hectares, dans lequel se dressent des arbres cinq fois centenaires. Sur la route, on est en Saône-et-Loire. Dès le portail franchi, dans l’Ain. A deux pas de la Bourgogne et de ses coteaux, de la Bresse et de ses poulets.

Ce jour-là, le château élance ses tours rouges vers un ciel neigeux. Fondé en 1571, on lui a adjoint des tours et des galeries au 17ème siècle, des tours rondes et ses étonnantes briques rouges, à l’italienne, au 19ème.22 pièces et autant de cheminées. On imagine le poids de la rénovation menée en 1998 par le nouveau propriétaire, le Zurichois Paul Gross, alors que le château avait été inoccupé pendant une quinzaine d’années.

«Paysan de luxe»

Paul Gross, un parcours pour le moins atypique: paysan, bûcheron, policier à la «crim’» zurichoise, éditeur, guide de montagne et moniteur de ski, comptable puis broker, courtier en assurances et en affaires bancaires… Avec cette dernière profession, la fortune est au rendez-vous.

A-t-il une explication à cette trajectoire, à cette faculté de changer de cap et de rebondir? «A 14 ans, j’ai quitté ma famille et j’ai pris ma vie en main» (en réalité, il dit : «J’ai pris mon vive en mon main»: le français de Paul Gross, est étonnant, mais vif et coloré!). «Naturellement, cela n’amène pas à une vie normale».

Et de préciser les conditions de ce moment décisif: «Ma mère était très malade et mon père n’avait pas d’argent. Il voulait que je travaille à la fabrique. J’ai dit non: je ne suis pas un homme à travailler dans une fabrique, je suis un homme libre. Je veux devenir paysan. Et cela a commencé comme ça».

Aujourd’hui, Paul Gross se dit d’ailleurs volontiers «paysan de luxe». Car «châtelain, ce n’est pas une profession, c’est une situation», constate-t-il en riant. «Dans ma vie, je me suis fait tout seul. Cela donne lieu à beaucoup de fautes, aussi. Mais j’ai une caractéristique: quand je commence quelque chose, je vais jusqu’au bout.»

Une question de survie

Paul Gross a quitté la Suisse suite à un drame. En 1993, en vacances aux Etats-Unis, sa femme meurt sous ses yeux, renversée par une voiture.

Alors Paul Gross rejette l’affection des autres, même celle de ses enfants: «J’ai voulu vivre ça tout seul». Il décide de partir pour un pays «qui est grand, avec un grand horizon, avec une autre langue que l’allemand, un pays où l’on ne me connaît pas».

«Mes enfants pensaient que j’étais égoïste. Mais c’était une force incompréhensible qui me guidait. Je ne sais pas pourquoi j’ai agi comme ça». Une question de survie. Douze ans plus tard, la faille familiale est toujours là. Si Paul Gross, un homme fort et fier de l’être, a une fissure, c’est bien celle-là.

Il prend sa voiture, roule pendant six mois en France et décide d’y rester. D’abord, il s’arrête dans le Jura, où il achète une maison qu’il rénove. Là, il organise des concerts folkloriques et classiques. Il y vit deux ans.

Puis c’est un concours de circonstances – les retrouvailles avec une femme qu’il avait connue auparavant, la petite annonce concernant un château à vendre et l’envie commune de travailler à une nouvelle aventure – qui va amener le couple à Vescours. La femme en question, c’est Elfi, devenue depuis son épouse.

Résidence familiale

Le château de Montsymond devient alors un hôtel. Mais pas n’importe lequel: «Je ne veux pas d’un château-hôtel avec exclusivement des chambres. Je veux que nous soyons une résidence familiale.» Paul Gross parle volontiers du château en tant qu’«oasis».

Une résidence en interaction avec la région: équitation, golf, quad, vélo, ball trap laser, ou excursion à ski sur le Mont-Blanc avec départ en hélico depuis le château sont au programme pour ceux qui le souhaitent.

A 74 ans, Paul Gross et sa femme disent travailler jusqu’à 18 heures par jour. Elle s’occupe du linge, du repassage, des chambres, de la cuisine. Lui sert les clients, s’occupe du parc et se garde l’exclusivité des desserts!

Pourquoi courir ainsi? «C’est ma vie. Ce n’est pas une vie normale pour un Suisse allemand. Eux, ils ont le rêve d’une retraite rapide, avec une bonne pension, et ne rien faire. Pour moi, la vie, c’est le travail. Le travail, c’est la vie», répond Paul Gross.

Ils n’iront donc jamais s’acheter une petite villa sur la Costa Brava? «Non, ce n’est pas pour moi, ça», dit Paul Gross en éclatant de rire.

Quant au château, les enfants de Paul et ceux d’Elfi n’y étant pas intéressés, le couple cherche des associés qui «le feront vivre avec la même mentalité que nous». Mais Paul Gross est prêt à continuer tant que ses forces seront là. «C’est ma vie», répète-t-il.

Comment un Suisse alémanique, acquéreur du château du village, a-t-il été accepté dans la région? «On m’a surnommé le ‘Suisse fou’. Pas normal. Il faut dire que les gens ici ne sont pas très ouverts, plutôt conservateurs. Mais quand on a commencé à parler agriculture, ils ont constaté que je connaissais mon travail. Mais ils ont toujours gardé une certaine distance, malgré nos bons contacts».

Paul Gross a-t-il lui-même essayé de s’assimiler? «Dans mon cœur, je suis toujours resté Suisse et je veux rester Suisse. Mais… j’accepte qu’il y ait ici une autre mentalité et je la respecte.»

A propos, comment regarde-t-il la Suisse depuis qu’il vit en France? «Je ne suis pas content pour la Suisse. Beaucoup de Suisses ne vivent pas», répond-il.

Avant de préciser sa pensée: «Il y a de plus en plus de personnes âgées. Ils veulent vivre calmement, sans problème, avec une rente importante, de bonnes assurances. Trop de gens veulent vivre ainsi. Je pense que ce n’est pas la vie. Un jour, cela cassera. Les Suisses ne sont pas créatifs, sauf quelques-uns… Mais le gros de la population ne vit pas».

Perrex jeudi 17 février 2022



Le soleil était annoncé pour l’après midi ; c’est ainsi que 12 randonneurs se retrouvent à Perrex . Joli village de 850 hab à proximité de Vonnas . Nous passons devant le majestueux séquoia malheureusement ébranché du côté gauche .La balade se déroulera sur des petites routes goudronnées une fois de plus en raison des pluies des jours précédents . Petite grimpette pour atteindre Moncoin Haut avec la maison bourgeoise de la famille Lombard Platet ( riche propriétaire lyonnais possédant autrefois 5 fermes à Montcet ). Après le haut c’est Moncoin Bas , traversée de la ligne de chemin de fer et nous arrivons au moulin Peroux .

La Veyle est bouillonnante . Jadis 38 moulins jalonnaient les bords de cette rivière .Nous quittons le goudron pour prendre les chemins balisés de VTT bien empierrés . Nous marchons dans des lieux humides marécageux au milieu de peupleraies ; quelques touffes de jonquilles pointent à travers les herbes sèches .Nous débouchons en bas de Rétissinge et nous prenons la direction du moulin du Geai ( commune de Biziat ) . Le jeune propriétaire,au demeurant fort sympathique,nous fait visiter son futur lieu de vie ( turbines ) .

Nous nous arrêtons au moulin de Corsant ; la Veyle est toujours aussi tumultueuse . La scierie et le camping ne sont plus que des lointains souvenirs . Nous empruntons des sentiers herbeux et détrempés pour atteindre les hauts de Perrex .

Les yeux affutés de Roger nous font découvrir au loin une famille chevreuil .Pagneul qui n’est pas en reste débusque un lièvre dans un champ labouré ; mais encore une fois c’est le lièvre qui a gagné .Nous regagnons le village après être passé devant le pigeonnier . La table en bois de l’aire de jeu nous tend les bras pour notre goûter . Nous aurons parcouru 11 km sous un soleil printanier .

historique de St Jean /rey

En complément de ST Jean: en 1272 c’est SANCTUS JOHANNES DE REYSSUSA.

L’église Saint Jean Baptiste date du XII° siècle. Elle possède une galonnière.

A la révolution St Jean devient MONT FLEURY SUR REYSSOUSE.

St Jean/Reyssouze jeudi 10 Février 2022



Le soleil printanier redynamise le groupe de randonneurs ; nous nous retrouvons 19 sur le parking du Foyer Rural de St Jean sur Reyssouze . Petit village de la Haute Bresse de 750 hab connu pour son fleurissement 3 fleurs et son circuit des 3 moulins .Nous passons devant la petite épicerie et l’église datant fin du 12e et début du 13e siècle ; longue ligne droite et nous découvrons à travers les grilles  le château de Montiernoz (Cette seigneurie — dépendant aussi des sires de Bâgé — avec un château était possédée en 1300 par Rodolphe de Montiernoz, chevalier, père de Josserand, damoiseau qui obtint en 1308 d’Amédée IV la confirmation de la justice moyenne
Seigneurie avec château possédée en 1300, par Rodolphe de Monthiernoz, damoiseau, qui obtint en 1306, d’Amé IV, comte de Savoie.la confirmation de la justice moyenne).

C’est un parcours jalonné de fermes bressanes restaurées ou laissées en l’état .Nos souliers apprécient les chemins blancs bien entretenus et peu glaiseux… Les champs sont labourés et semés; ils attendent le réveil de la nature . Nous passons devant un méga élevage de volailles industrielles.Petite descente sur le bief d’Argiors ; au loin le clocher de Servignat . Le ciel se voile et laisse filtrer parcimonieusement quelques rayons de soleil ; une petite fraicheur arrive. Bernard notre guide local, nous montre le bâtiment des abattoirs ex-JOLY situé en face du hameau de Mons . La balade se termine par la montée de la ferme de LANNOZ et le stade .

Nos deux footeux se remémorent leur jeunesse ! Petite causette avant de reprendre le chemin du retour accompagnée de douceurs sucrées .

Blagues belges mais…

Un touriste belge visite l’Australie…Le guide explique: « Dans ce pays, l’animal le plus répandu est le kangourou. C’est un animal qui saute sur la queue.»

– « Ah! je connais », fait le belge. « Chez nous, on appelle ça un morpion >>

 

 Ce sont deux Belges à la chasse, ils voient passer un deltaplane.
Le premier épaule et tire.
– « Bah tu l’as raté !! »
– « Oui, mais il a lâché sa proie. »

 

Ce sont quatre Belges en virée à Paris qui s’arrêtent en voiture dans le bois de Boulogne à hauteur d’une prostituée :
– « C’est combien ? » dit le conducteur
– « 50 euros devant et 70 euros derrière » répond la fille.
– Deux voix de protestations indignées s’élèvent alors de l’arrière  de la voiture :   
– « Et pourquoi c’est plus cher pour nous ? 

Un Belge fait le trajet Paris-Lyon en voiture, et il prend une auto-stoppeuse vêtue d’une mini-jupe. Et elle commence à lui faire du charme.
A l’entrée de Lyon le Belge lui frôle la jambe, par mégarde en changeant  de vitesse.
La nana le regarde droit dans les yeux et lui dit :
– « Tu sais, tu peux aller plus loin. »
Et le Belge a continué jusqu’à Marseille.

Un Belge entre dans un magasin et demande au commerçant :
– « Je voudrais du papier toilette »  Le commerçant demande alors : « Du bleu ou du blanc ? »
Le Belge répond : – « Du bleu, c’est moins salissant ? »

Un Belge est en train de rouler sur l’autoroute tout en écoutant la radio :
– «… ATTENTION, ATTENTION ! Nous avons un communiqué spécial de la gendarmerie : On nous signale qu’un automobiliste roule à contresens sur l’autoroute A1. Soyez prudents … »
Le Belge se retourne vers sa femme : – « Mais, Germaine y sont fous à la radio : c’est pas un, mais des dizaines et des dizaines d’automobilistes qui roulent à contresens ? » 

> Un accident de bus en Belgique a fait 40 morts.
> 20 dans l’accident et 20 dans la reconstitution.

> On vient de nous apprendre une triste nouvelle. Un Belge serait mort noyé en tentant de s’asseoir sur un banc de poissons…

 
 

Les origines de Marsonnas

Viendrait du gaulois MARCO « marécage » ou éventuellement du nom d’une personne- MARCION ou MARCINIUS.

On trouve cette commune en 963 MARZANIACO – EN 1180 MASORNA – en 1223 MASORNAI – en 1250 MARCONAY –

On trouve les mottes du château de BEVIERS ou BEYVIERS ou BEVY – Des nobles de BEVY sont cités en 1120.

En 1958…

‘Les anciens’ comprendront…les moins de 50 ans, pas sûr…

1958

Mr Pinget est  instituteur à Montcet, il gèle à pierre fendre et il jette des seaux d’eau dans la cour de récré pour que Christian,Nicole,Gilbert et les autres élèves puissent faire des glissades. Tout le monde est content ! On prolonge les récrés.

2018

Je suis directeur, la cour est verglacée, je demande aux ouvriers de l’école de jeter du sel de déneigement sur toute la cour. Tout le monde est content ! On abrège les récrés extérieures.

Vacances

1958

Après avoir passé 15 jours de vacances en famille, en Bretagne, dans la caravane tractée par une 403 Peugeot, les vacances se terminent.

Le lendemain, tu repars au boulot, frais et dispos.

  2018

Après 2 semaines à la Réunion et à l’Ile Maurice, obtenues à peu de frais grâce aux « bons vacances » du Comité d’Entreprise, tu rentres fatigué et excédé par 4 heures d’attente à l’aéroport, suivies de 12 heures de vol.

Au boulot, il te faut 1 semaine pour te remettre du décalage horaire !

Du lait, du beurre et des œufs

1958

Tu vas chercher du lait chez le crémier, qui te dit bonjour, avec ton bidon en alu, et tu prends du beurre, fait avec du lait de vache, coupé à la motte. Puis tu demandes une douzaine et demi d’œufs qu’il sort d’un grand compotier en verre.

Tu paies avec le sourire de la crémière, et tu sors sous un grand soleil.

Le tout a demandé 10 minutes.

2018

Tu prends un caddie de merde dont une roue est coincée et qui le fait aller dans tous les sens sauf celui que tu veux.

Tu passes par la porte qui devrait tourner mais qui est arrêtée par ce qu’un benêt l’a poussée, puis tu cherches le rayon crémerie, où tu te les gèles, pour choisir parmi 12 marques le beurre qui devrait être fait à base de lait de la communauté. Enfin tu cherches la date limite…

Pour le lait :

Tu dois choisir avec des vitamines, bio, allégé, très allégé, nourrissons, enfants, malades ou mieux en promo avec la date dessus et la composition……

Pour les 12 œufs :

Tu cherches la date de la ponte, le nom de la société et surtout tu vérifies qu’ils ne soient pas fêlés ou cassés et paf !!! Tu te mets plein de jaune sur le pantalon !!!

Tu fais la queue à la caisse. La grosse dame devant toi a pris un article en promo qui n’a pas de code barre .. Alors tu attends, et tu attends …..,

Puis toujours avec ce foutu caddie de merde, tu sors pour chercher ton véhicule sous la pluie. Tu ne le retrouves pas car tu as oublié le N° de l’allée………

Enfin après avoir chargé la voiture, il faut reporter l’engin pourri et là, tu vas t’apercevoir qu’il est impossible de récupérer ta pièce de 1euro …..

Tu reviens à ta voiture sous la pluie qui a redoublé.

Cela fait plus d’une heure que tu es parti.

Faire un voyage en avion

1958

Tu voyages dans un avion d’Air France. On te donne à manger et t’invite à boire ce que tu veux, le tout servi par de belles hôtesses de l’air, et ton siège est tellement large qu’on peut s’asseoir à deux.

2018

Tu entres dans l’avion en continuant d’attacher ton ceinturon qu’on t’a fait retirer à la douane, pour passer le contrôle.

Tu t’assoies sur ton siège et, si tu éternues un peu trop fort, tu mets un coup de coude à ton voisin.

Si tu as soif, le steward t’apporte la carte et les prix sont ahurissants.      

Michel doit aller dans la forêt après la classe.

Il montre son couteau à Jean avec lequel il pense se fabriquer un lance-pierre

1958

Le directeur voit son couteau et lui demande où il l’a acheté pour aller s’en acheter un pareil.

2018

L’école ferme. On appelle la gendarmerie. On emmène Michel en préventive.

TF1 présente le cas aux informations en direct depuis la porte de l’école.

Discipline scolaire

1958

Tu fais une bêtise en classe. Le prof t’en colle deux. En arrivant chez toi, ton père t’en recolle deux autres.

2018

Tu fais une bêtise. Le prof te demande pardon.

Ton père t’achète une console de jeux et va casser la gueule au prof.!!!        

Dominique et Marc se disputent. Ils se flanquent quelques coups de poing après la classe        

1958

Les autres les encouragent, Marc gagne.

Ils se serrent la main et ils sont copains pour la vie.

2018

L’école ferme. FR3 proclame la violence scolaire, relayée par BFMTV et ITélé en boucle et TF1 au journal de 20 heures.

Le lendemain, Le Parisien et France Soir en font leur première page et écrivent 5 colonnes sur l’affaire.

Jean tombe pendant une course à pied. Il se blesse au genou et pleure.

Sa prof Jocelyne le rejoint, le prend dans ses bras pour le réconforter

1958

En deux minutes Jean va beaucoup mieux et continue la course.

2018

Jocelyne est accusée de perversion sur mineur et se retrouve au chômage, elle écopera de 3 ans de prison avec sursis.

Jean va de thérapie en thérapie pendant 5 ans. Ses parents demandent des dommages et intérêts à l’école pour négligence, et à la prof pour traumatisme émotionnel. Ils gagnent les deux procès.

La prof, au chômage et endettée, se suicide en se jetant d’en haut d’un immeuble. Plus tard, Jean succombera à une overdose au fond d’un squat!!!

Arrive le dernier dimanche d’octobre

1958

Il ne se passe rien.

2018

C’est le jour du changement d’horaire : les gens souffrent d’insomnie et de dépression.

 Comme dit l’autre : On vit une époque vraiment formidable !!!

Marsonnas jeudi 3 Février 2022



Ce jeudi 3 février la place de l’église de Marsonnas s’anime sur les coups des 14h avec l’arrivée de 19 randonneurs . Le soleil n’est pas très nerveux mais on s’en contentera .Petite rando sans prétention avec alternance de petites routes goudronnées et de chemins herbeux et glaiseux bien détrempés .

Chacun sa technique : marcher sur les côtés ou au milieu ou carrément dans la boue .Certaines enjambées sont dignes de figurer dans un ballet d’opéra ! Nous rencontrons un quad qui dégrade encore plus les sentiers . Nos souliers s’alourdissent au fil des kms ; c’est un plaisir de retrouver le goudron pour racler les godillots.

Mais quelle est cette randonneuse à l’allure rapide qui vient en face de nous ? C’est la fille de Roger et Brigitte ; la famille est omni présente sur nos randos ( neveux, cousins, frères ou soeurs ,ils sont partout ! ).

Nous vivons un instant nostalgique quand Bernard passe devant la maison de ses grands parents . Bientôt l’église se profile à l’horizon avec sur l’abside un puits de lumière en verre . En 1840 les chemins étaient déjà boueux puisque le carrosse de l’évêque s’était embourbé !

un peu d’histoire sur la psychiatrie à Bourg en Bresse!

L’HISTOIRE DE LA PSYCHIATRIE DANS
BOURG-EN-BRESSE
1) L’hôpital Sainte-Marie
(12e/13e siècle – 1789)
L’hôpital Sainte-Marie se trouvait au bas de la rue d’Espagne.
À cette époque, le terme hôpital renvoie à « l’hospitalité » et
pas aux soins ; il accueillait vagabonds, orphelins ou enfants
abandonnés, pauvres et aliénés et comptait sur la charité
publique. Les aliénés les plus agités étaient enfermés dans
des loges du sous-sol.
Il est transféré en 1652 vers la rue Neuve (l’actuelle rue
Thomas Riboud), prenant la dénomination officielle d’Hôtel-
Dieu de Bourg.
2) Tour des champs
(16e/17e siècle – 1824)
La Tour des champs, située sur les anciennes fortifications de
la ville, est la prison de Bourg-en-Bresse. Dans cette tour
de briques rouges octogonale, les aliénés qui s’y retrouvent
emprisonnés font face à la violence et à l’exploitation aussi
bien de la part des gardiens que des co-détenus. La Tour
des Champs était située tout près de l’église Notre-Dame,
à l’emplacement actuel de l’AVEMA (Association d’aide aux
victimes et médiation de l’Ain).
3) Premier Hôtel-Dieu (hôpital général)
(1652 – 1790)
Il s’installe vers 1652 dans des bâtiments autour de la rue
Neuve (actuelle rue Thomas-Riboud). Il prend la suite
de l’hôpital Sainte-Marie, trop exigu et insalubre. Une
congrégation hospitalière de Béziers en reprend la charge
à cette époque. Elle crée une apothicairerie. L’Hôtel-Dieu
dispose de 46 lits, où se serrent souvent deux personnes.
Il fonctionne jusqu’en 1790 (ouverture de l’Hôtel-Dieu du
boulevard de Brou).
Réf.: L’ouvrage Bourg-en-Bresse une épopée humaine et urbaine reproduit une série de plans du 16e au 19e siècle où figurent les
emplacements de la Tour des champs et d’autres lieux mentionnés ici. (Ouvrage réalisé sous la direction de Paul Cattin et
Jean-Marc Gerlier, Cleyriane Editions, dec. 2018).
Dessins : Antonin Guillot-Vignot
Document réalisé dans le cadre de l’exposition « Le Centre Psychothérapique de l’Ain, des
espaces et des Hommes », du 21 septembre au 20 décembre 2019 au CPA à Bourg-en-Bresse.
4) L’hospice de la Charité
(1750-1869)
Il ouvre en 1750 sur le faubourg de Mâcon, grâce au legs
d’Anne-Marie Crollet. L’établissement est géré par les Soeurs
de la Charité. L’hospice prend en charge « des orphelins, des
vieillards et des insensés », puis des enfants « sourds, muets,
aveugles ou estropiés », qui ne peuvent trouver un emploi
dans les fermes. Au cours du 19e siècle, l’hospice se consacrera
exclusivement aux personnes âgées.

5) Nouvel Hôtel-Dieu
(1790)
Le premier Hôtel-Dieu étant délabré et trop petit, le lieutenant de
Bresse, M. de Raimondis, recommande en 1774 la construction d’un
nouvel établissement. L’emplacement est choisi à l’extérieur de la ville,
au faubourg de Brou. Ses plans sont conçus sur les conseils du
chirurgien Buget. Il comporte 170 lits (dont l’essentiel
dans deux vastes salles de 78m de long et 5m sous
plafond, l’une pour les hommes et l’autre pour les
femmes). En 1790, les malades sont transférés au sein
de ce nouvel « Hospice d’Humanité » (selon les termes
de l’époque). Il est géré par les Soeurs de Saint-Joseph
à partir de 1824.
6) Premier dépôt de mendicité
(vers 1764 – 1790) ou bicêtre
Les dépôts de mendicité ont été institués par
ordonnance royale en 1767. Ils sont destinés à enfermer
les mendiants, les vagabonds et plus généralement
tous les indésirables. Le premier dépôt de mendicité
de Bourg-en-Bresse se trouvait à l’angle du faubourg
de Lyon et du chemin de ronde (soit l’emplacement
du lycée Marcelle Pardé). S’y entassent les vagabonds
de Bresse, de la Dombes, du Pays de Gex et même du
Mâconnais. Il comportait des cachots en sous-sol, au
niveau du sol avec des murs épais et des loges voûtées
dans la cour.
Les valides travaillaient (ils cardaient et filaient la laine),
les profits étant partagés entre un pécule pour eux et la
rémunération du personnel.
7) Second dépôt de mendicité
(1811-1823)
La Révolution s’était élevée contre le « renfermement des pauvres » et avait supprimé les dépôts
de mendicité. Or dès 1810, un décret de Napoléon Ier recrée un dépôt de mendicité dans chaque
département. Celui de l’Ain est aménagé dans les bâtiments et dépendances de l’ancien couvent des
Augustins de Brou, confié aux religieuses de Saint-Augustin. Deux des cours étaient réservées aux
aliénés et la troisième aux mendiants. Il y avait également des loges cadenassées pour les détenus
aliénés, deux salles pour le travail, une salle de bain, une buanderie, des bûchers et des lieux d’aisance
communs. Il pouvait accueillir 150 à 200 personnes. À partir de 1812, les soeurs de Saint-Joseph
prennent le relais pour tenter de gérer ce « refuge ».
La monarchie est rétablie dès 1814 ; elle supprime les dépôts de mendicité, sans pouvoir fermer les
lieux. La situation perdure jusqu’en 1823, lorsque les lieux sont affectés au séminaire que réclame
le tout nouveau diocèse de Belley. Dans les faits, les aliénés ne pouvant être transférés ailleurs, la
cohabitation s’installe pendant quelques temps entre séminaristes et aliénés.
8) L’asile du Clos des Lazaristes
(1825-1861)
En 1824, la préfecture de l’Ain acquiert le Clos des Lazaristes, situé
avenue du Mail, à côté du couvent des Capucins, pour y transférer
les aliénés qui doivent libérer le dépôt de Brou pour laisser toute la
place au séminaire.
Il s’agit désormais d’un asile, dédié uniquement aux aliénés. La
préfecture confie sa gestion aux frères de Saint-Jean-de-Dieu, qui
baptisent l’établissement Saint-Raphaël. Rapidement, un asile
similaire ouvre pour les femmes (sorties également du dépôt de
Brou), à l’emplacement actuel de Sainte-Madeleine. Il est confié aux
soeurs de Saint-Joseph. En 1834, elles se retrouvent à gérer également
l’asile pour hommes, qu’elles rebaptisent Saint-Lazare.
En raison de son état sanitaire trop dégradé, il fermera en 1861 et
les aliénés emménageront à l’asile Saint-Georges que les Soeurs ont fait
construire au lieu-dit Cuègre, entre Bourg-en-Bresse et Viriat.
9) L’asile/l’hôpital Sainte-Madeleine
(1825 – 2001)
L’asile Sainte-Madeleine est ouvert en 1825 pour
accueillir les femmes aliénées de l’ancien dépôt de
mendicité de Brou. L’établissement est confié aux Soeurs
de Saint-Joseph. À l’époque l’asile se situe à l’extérieur de
la ville, bordé par le chemin de ronde, la promenade du
Mail, des jardins clos et des champs. L’établissement est
reconnu par ordonnance royale le 1er février 1829. Il est
agrandi progressivement en gagnant sur les « terres du
Mail » puis les terrains dits « du fond du jardin ».
L’association ORSAC reprend les deux établissements
en 1971. L’hôpital Sainte-Madeleine fusionne alors
avec l’hôpital Saint-Georges pour devenir le Centre
Psychothérapique de l’Ain.
Au début des années 2000, tous les services sont
regroupés sur le site de Saint-Georges et les terrains de
la Madeleine sont vendus en 2001 au Conseil Général de
l’Ain.
10) L’asile/l’hôpital Saint-Georges
(1861-aujourd’hui)
L’asile Saint-Georges nait de la volonté de la
Congrégation des Soeurs de St-Joseph de remplacer
l’asile Saint-Lazare dont l’état sanitaire est trop
dégradé. Elle acquiert en mai 1855 la propriété de
Cuègre (78 hectares), située sur les communes de
Bourg-en-Bresse et de Viriat, afin de construire un
nouvel asile pour hommes. L’architecte est Louis
Dupasquier. En 1861, l’asile est nommé Saint-
Georges (prénom de l’évêque de Belley), au moment
où la préfecture de l’Ain le reconnaît. La chapelle est
construite en 1886. Lors de sa reprise par l’ORSAC,
en 1971, l’hôpital Saint-Georges fusionne avec
celui de Sainte-Madeleine et devient le Centre
Psychothérapique de l’Ain.

Vous saurez tout sur …la Cambuse

Quelques mentions concernant La Cambuse. Ce mot vient du néérlandais KOMBUIS qui signifie cuisine de navire et lieu de repos. Il est attesté en 1422 à Breslau.

Plus généralement, il est employé pour désigner:

                    – la cantine d’un chantier, d’une usine…………..

                     – un restaurant bon marché

                      – c’est un lieu où on entreposait les victuailles

En argot: – un cabaret mal famé

                    – une petite chambre misérable ou un taudis

La Cambuse jeudi 27 Janvier 2022

Nous sommes 13 à la douzaine à avoir trouvé le RDV dans la zone industrielle de la Cambuse route de Lons.Le groupe déambule sur la petite route du même nom qui est jalonnée de villas des années 1960.

Le brouillard givrant a bien fait les choses et les marcheurs sont sensibles à la beauté du paysage avec houx,fougères,…recouvert de givre!Au loin,une vraie cambuse avec la fumée qui sort de la cheminée,un étang « propriété privé »,une photo souvenir sur la passerelle du Jugnon et une grosse ferme isolée.

Au loin la route de Marboz,l’hopital de Fleyriat et tout près le CPA St Georges raconté par Bernard!Bientôt l’entreprise avicole Poncin avec vu sur le Cap Emeraude.C’est vrai qu’à Bourg la ville est à côté de la campagne!

Sur le retour nous sommes accompagnés par un couple dont la femme est native de Montcet!Bientôt sur un chemin blanc une rutilante Audi fait un AR à vitesse réduite ce qui nous parait bien bizarre…et nous retrouvons la zone avec une cigogne sur chaque lampadaire!



Neuville -les-dames

De J-claude

Le village primitif de LUYSEIS ayant été détruit par un incendie ainsi que le monastère, il a donc été décidé de reconstruire le village sur une colline, d’où le nom de NEUVILLE ou VILLA NOVA en 1272. Le complément DAMES est lié aux chanoinesses nobles qui y ont vécu jusqu’à la révolution.

La 1er mention date de 1103 dans le recueil des chartes de CLUNY sous le nom de LUSEIACO.

Différentes références à la localité sont énoncées: LUYSEIS et LUSEYS en 1272 et LUYSEIZ.

En 1495 la pancarte des droits de cire mentionne NOVA VILLA.

En 1536 la localité devient NEUVILLE LES MOYNES alors que le pouillé de LYON évoque NOVILLA MONIALIUM en 1587.

En 1650 le village devient NEUVILLE LES DAMES et en 1662 NEUVILLE LES NOMMAIS. Au 18°siècle il prend le nom de NEUVILLE LES DAMES -CHANOINESSES pendant un temps.

A la révolution devient NEUVILLE SUR RENOM en référence à la rivière qui traverse le territoire. En 1847 on retrouve NEUVILLE LES DAMES.

La présence d’un monastère est mentionné dès 1009. Une bulle de LEON IX de 1050 et une autre de LEON IV de 1245 indiquent qu’il dépend de l’abbaye de SAINT CLAUDE.

Durant le moyen âge un prieuré d’hommes s’installe dans le village.

En 1601 la localité appartient à la FRANCE après le traité de LYON.

Un peu plus tard un monastère bénédiction de femmes est installé. Il ne reconnait que des filles nobles et en 1775 il n’est plus occupé par des religieuses, mais par des chanoinesses venant des plus grandes familles de FRANCE et ce jusqu’à la révolution.

Le moulin de Garambourg appartenait au Prieuré et a été transmis aux dames en 1710. En 1664 trois meules existaient: deux pour la farine et une pour l’huile. Plus tard une machine à vapeur améliore son rendement. La haute cheminée est le dernier témoin de cette installation qui a fonctionné jusqu’à la dernière guerre.


Un lien très culturel(Roger se souvient des habits Laffont dans les années 1970/1980)

https://patrimoines.ain.fr/n/neuville-les-dames-histoire-et-patrimoine/n:1559

 

Neuville les Dames jeudi 20 janvier 2020

La petite averse de 13h et la grisaille ambiante n’incitaient pas à sortir . Néanmoins 8 randonneurs se retrouvent sur la place du Chapitre à Neuville les Dames (aujourd’hui 3 dames ) .Après un petit laïus de notre historien sur ce site chargé d’histoire, nous descendons les escaliers de l’église St Maurice . Le clocher a été récemment restauré . Nous retrouvons la rue de la Basse Bresse : parfaite pour apprendre les démarrages en côte !Nous avons fait cette sortie il y a déjà 3 ans,mais pour changer ce sera en sens inverse pour changer de paysages!

Nous passons sur le pont du Renom et nous arrivons au lavoir ; nous attendrons le printemps pour la grande lessive . Le plan d’eau des Granges est un lieu festif ( fête des Bordes , feux d’artifices , cyclo cross ) . Nous sillonnons une campagne bien humide ; les étangs sont bien remplis , certaines bâtisses sont en piteux états mais il faut toujours se méfier des clôtures électriques : Pagneul en a fait les frais !

Nous passons à proximité du centre équestre de La Côte ; les chevaux ont tous des capes . Au loin on devine le château de Longe . Le retour se fait par la route des Boulangères sous le soleil; mais oui, il existe encore ! Nous retrouvons le moulin de Garambourg et son immense cheminée . Nous grimpons au village en passant vers l’ancienne maison de convalescence fermée depuis une dizaine d’années et qui se délabre lamentablement .

La vieille maison de retraite l’Aubier attend elle aussi un repreneur . Le soleil nous a redonné la pêche et même que l’on a vu les premiers chatons des noisetiers: c’est dire que le moral est remonté d’un cran .



 

St Rémy jeudi 13 Janvier 2022



Ce jeudi 13 janvier , la grisaille enveloppe toujours la campagne , le Covid nous  » emmerde » encore ( mot très utilisé en ce moment… ) .Cependant les 17 randonneurs ont gardé la positive attitude et se retrouvent gaiement sur la place de St Rémy . Les sentiers sont peu praticables ; la rando se déroule sur les petites routes goudronnées . La colonne de marcheurs s’ébranlent en direction de Raisin et Bourbouillon . Lieu de mémoire où une stèle a été érigée en mémoire du lieutenant CLAUDE . Le groupe CLAUDE (lieutenant Jean André) fut ravitaillé en armes , en explosifs par parachutages et participa au harcèlement des troupes allemandes jusqu’à la libération en faisant sauter les voies ferrées et le poste aiguillage du Mail ) Charles Couard, un combattant de l’ombre et de la famille d’Annie C est à l’origine de ce site commémoratif .

Après avoir longé les étangs et les parcs équestres de Barrière , nous arrivons à ST Andre sur Vieux Jonc en rangs serrés . Les arrières de l’école et du terrain sportif sont propices à une petite pause et à une minute culturelle ( merci Elyane ) . La température avoisine les 0°, nous ne le sentons pas à condition de ne pas s’arrêter . Nous passons à Daloy , au Capot où s’écoule le Vieux Jonc , au GAEC de Vérillat . Nous arrivons à 16h30 pour la sortie des écoles et nous concluons la sortie par un déballage de douceurs sucrées . Après l’effort nous avons le droit de reprendre des calories !

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Bouvent jeudi 7 Janvier 2022


Pour cette première rando 2022 , nous nous retrouvons à 13 sur le parking de Bouvent . De nombreux retraités burgiens ont déjà envahi les lieux .Comme eux, nous avons pris de bonnes résolutions et le moral est au beau fixe : surtout joie de se retrouver .Le soleil daigne nous inonder de ses rayons malgré la bise bien présente . Et c’est parti pour de nouveaux périples ! Nous empruntons la route qui ceinture la base et qui est réservée maintenant aux transports en mode doux .Nous longeons le golf de 6/9 trous . Michel adepte du swing nous explique les difficultés du parcours .

Nous arrivons en vue de la nouvelle rocade inaugurée en 2019 ; passage sous le tunnel et nous continuons sur la piste cyclable bien aménagée jusque sur la colline de Pombeau . De nouvelles constructions sont apparues . Légère montée et nous atteignons le village de Saint Just (970 hab) et la place de l’église . Joli point de vue sur Bourg en Bresse . Nous traversons la route de Ceyzeriat et nous nous retrouvons dans les lotissements derrière l’école.

Petite halte à l’orée de la forêt de Teyssonge ( aérodrome ). Nous abandonnons le goudron pour cheminer dans un pré détrempé : cela aurait pu être pire ! Nous passons au hameau de la Chagne ; traversée dangereuse du rond point en raison de la densité de la circulation de la rocade . Nous dominons RVI , le tri postal , Gefco . Nous sommes en sécurité derrière le mur de la voie verte et bientôt contents de reprendre la route de Bouvent beaucoup plus calme mais jusqu’à quand ?

L’emprise des nouveaux lotissements avec leur voirie est impressionnante. Nous quittons cette zone urbanisée par le passage d’une passerelle sur la reyssouze et nous récupérons le parcours de Bouvent . Nous nous mêlons aux multiples promeneurs pour regagner le point de départ .Ah oui , j’avais oublié ; c’était l’Epiphanie . Un grand merci à nos amis de St Denis pour nous avoir fait partager un moment de convivialité autour de la galette des rois .

Gâteau à l’orange de Brigitte

Gâteau à l’orange de Brigitte

-Mélanger 120 gr de beurre ramolli avec 120gr de sucre

-Ajouter 2 oeufs et 120 gr de farine avec 1 sachet de levure alsacienne et un jus d’orange

-Battre au fouet et cuire à four moyen 20-30mn

-Déguster en fin de balade…

historiettes….

Une jeune femme demande à son amie :
– Alors toujours amoureuse de ton parachutiste ?

– Non je l’ai laissé tomber ! »

Un homme attablé au restaurant interpelle le serveur :
 « Vous servez des andouilles à midi ?
 – Bien sûr M. on sert tout le monde ! »

« Chéri j’ai trouvé ce que j’allais t’offrir pour ton anniversaire. » lance l’épouse à son mari,
 « Tu vois la Ferrari rouge garée juste en bas de chez nous ?
 – Oui bien sûr.
 – Et bien je t’ai acheté un pull de la même couleur

 Deux copines discutent devant la machine à café :
 « Alors tu as eu des réponses à ton annonce où tu disais chercher un mari ?
 – Oui plein de femmes m’ont répondu !!!!
 – Ah bon ! les femmes, mais que disaient-elles ?
– Prenez le mien !!!!! »

 Une secrétaire entre à moitié nue dans le bureau de son patron :
 « Monsieur, votre femme est à la réception et sera ici dans 3 minutes, que fait-on ?
 Je reste comme cela ou vous m’accordez cette augmentation

Une femme emprunte la voiture de son mari pour aller faire des courses.
 Le soir, ce dernier découvre sa voiture accidentée :
 « Mais qu’as-tu fait pour mettre ma voiture dans cet état ?
 – Pas grand-chose, mais ta voiture est comme ta mère, elle se froisse pour un rien ! »

 Dans un parc, une blonde s’assoit sur un banc qui vient d’être repeint.
 Le gardien la met en garde :
 « Attention mademoiselle, la peinture est fraîche !
– Pas grave monsieur, je ne suis pas frileuse ! »

 Un patient âgé qui doit subir une opération insiste pour que ce soit son gendre qui l’opère.
 « Ne sois pas nerveux dit le malade avant d’être endormi: je te fais confiance mais sache bien que s’il m’arrive quelque chose, ta belle-mère viendra vivre chez toi. »

 À New-York, deux livreurs montent une machine à laver au 30ème étage d’un building dont l’ascenseur est en panne.
 Pendant la montée, l’un dit à l’autre :
– J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
– Commence par la bonne.
– On vient d’arriver au 20ème étage.
– Et la mauvaise ?
 – On s’est trompé d’immeuble !!!!!!! »

 « Toto, tu manges comme un goret se plaint son père.
– Comment cela ? « répond Toto
 « Tu sais ce qu’est un goret ?
 – Oui le fils du cochon !!! »

 Dans une librairie, un client s’adresse à la vendeuse :
 « Je cherche un ouvrage sur l’homme le sexe fort, vous savez où je peux le trouver ?
 – Oui, » répond la vendeuse, « Au rez de chaussée, rayon science-fiction !!! »

Deux escargots discutent en chemin :
 « Et si on allait cueillir des cerises ?
 – Tu es bête ou quoi on est en plein hiver !
 – Oui, mais le temps d’y arriver, ce sera l’été !!!! »

 « Si je dis :

 l’Algérie aux algériens tout le monde dit bravo !!!
 la Tunisie aux tunisiens tout le monde dit bravo !!!
 la Turquie aux turcs tout le monde dit bravo !!!
 l’Afrique aux africains tout le monde dit bravo !!!
la Palestine aux palestiniens tout le monde dit bravo !!!
Mais quand je dis la France aux français on me traite de raciste !!!…. »
 Encore du COLUCHE ; décidément, il ne mourra jamais!
 Le match
 Un homme est assis dans un stade de rugby, c’est la finale de la coupe du monde et toutes les places sont vendues depuis des mois.
 A côté de lui, une place est vide…
 Visiblement très irrité, le gars assis de l’autre côté de la place vide lui demande à qui appartient la place, car c’est quand même honteux de laisser une place vide le jour de la finale.
 Effectivement l’homme lui répond que c’était la place de sa femme et qu’ils allaient à chaque
match depuis qu’ils étaient mariés mais elle vient de décéder…
Le gars de l’autre côté s’excuse et lui présente ses condoléances.
 Puis il lui demande :
– Personne de votre famille n’a voulu vous accompagner ?

– Ben non, ils sont tous à l’enterrement….. »

 Vieille canaille
Un jour, ma femme m’appelle furieuse sur mon iphone :
 « Alors, vieux soûlard, où es-tu encore ? »
 Je lui réponds calmement :
« Te souviens-tu de cette bijouterie où, il y a très longtemps, tu avais repéré une superbe bague sertie de diamants. Tu en étais tombée amoureuse et je t’avais dit : « Un jour elle sera à toi ». »
 A cette époque je n’avais pas assez d’argent pour te l’offrir.
 Ma femme émue, presque en sanglotant me dit :
 « Oh oui, mon amour, je me souviens.
– Eh bien, je suis dans le bistrot, juste à côté !!!! »

Une femme arrive chez son médecin,

 Elle a des dents cassées, un cocard, le nez en sang, et le visage tuméfié.
 « Qui vous a fait ça…?
 – C’est mon mari…!.
 – Hein…? Mais je croyais qu’il était en voyage d’affaires ?
– Moi aussi…!. » Pour quelles raisons les hommes mariés grossissent-ils alors que les hommes célibataires maigrissent…?
 En fait c’est très simple :

 – Le célibataire va au frigo, n’y trouve rien d’intéressant et retourne au lit.
– L’homme marié va au lit, n’y trouve rien d’intéressant et retourne au frigo…!. Dans un zoo, un gardien se met à hurler vers un type :
 « Monsieur, monsieur, votre belle-mère est tombée dans la fosse aux lions…!
 – Écoutez, ce sont VOS lions…!!! Alors démerdez-vous, vous n’avez qu’à les sauver vous-même…!!! »

« Comment se nomme un grand rassemblement d’aveugles..?
– Un Festival de cannes…!.. »

Coup de soleil…!.
 Un homme s’endort plusieurs heures sur la plage et se réveille avec un terrible coup de soleil sur tout le corps.
> > Il s’en va immédiatement à l’hôpital et il est promptement admis pour brûlures au second degré.
 Il commence déjà à avoir des cloques sur la peau et il est en quasi agonie.
 Le médecin lui prescrit immédiatement un traitement :
 – biafine en couche épaisse,
 – un puissant sédatif,
 – et une pilule de Viagra à prendre toutes les quatre heures.
 L’infirmière Sandrine, surprise demande au médecin :
 « Quel bienfait va donc lui apporter le Viagra dans son cas ? »
 Le médecin réplique :
« Ça va lui permettre de garder les draps éloignés de ses jambes..!.. »

Un homme marié rend visite à sa maîtresse qui insiste depuis plusieurs semaines pour qu’il rase sa barbe touffue.
 Ce jour-là , très câline, elle s’y prend avec une infinie douceur et demande avec une voix sexy :
 « Pierre, j’aimerais tellement découvrir ton charmant visage sans cette barbe. 
L’homme rétorque :
-Tu sais bien que ma femme adore cette barbe. Elle se douterait de quelque chose… »
Elle insiste tellement que Pierre finit par céder et rase sa barbe.
Lorsqu’il rentre tard chez lui, il s’introduit discrètement dans le lit, mais sa femme se réveille et lui caressant le visage, dit :
 « Michel.. qu’est-ce que tu fais là…Mon mari va rentrer d’un moment à l’autre

 

 

Chatillon sur Chalaronne dimanche 19 Décembre 2021

12 randonneurs avaient pris RDV au centre nautique Acquadombe de Chatillon . Ils seront rejoints par 4 autres sous les Halles.Marre des reports dus à la météo avec du brouillard qui »pisse »et c’est parti le long de la Chalaronne ; brusquement changement d’itinéraire pour aller voir un moulin où Roger a …turbiné!Il s’agit d’un bâtiment désaffecté.Souvenir,d’un temps où la fée électrique n’était pas là et où le moindre courant d’eau servait à faire de la farine!

On approche de l’Arborétum toujours dans le brouillard,le temps passe plus vite avec le récit de notre conteur sur le suicide d’une connaissance avec de la mort-aux-rats qui a été aussi fatal…aux rats du secteur!

Tout le monde ne connaissait pas l’Arborétum,le passage près des pépinières Soupe est un lieu de promenade pour nos petits-enfants!Promis on reviendra au moment des cerisiers en fleurs et pour lire les étiquettes sur le tronc des arbres sans claquer des dents!

La maison de Retraite « la Montagne »n’est pas loin,ne nous attardons pas…Descente et remontée au vieux Château et la nuit arrive.la 1ère traboule débouche sur les halles où nous retrouvons nos amis,mais le marché des produits fermiers plie bagage.Plus de vin chaud!Un étal nous interpelle…il vendait de la bière chaude!

Ouf,il en reste pour nos gosiers.A chacun son avis,mais le groupe repart de bonne humeur dans les rues illuminées,en passant par la porte de Villars et le clos Janin pour rejoindre les voitures avec boissons chaudes et pâtisseries

A 2022 pour aller voir d’autres horizons